Violences policières: un tabou sémantique est-il enfin levé au gouvernement ?

  • il y a 3 ans
Emmanuel Macron, ministre, théorisait en 2016 que l’incapacité à “bien nommer les choses” serait l’une des causes de la “désaffection des Français pour les hommes politiques”. Le candidat d’En Marche! à la présidentielle ne mégotait donc pas sur le terme “violences policières” qu’il reprenait volontiers dans sa bouche en 2017 pendant la campagne. Le président Macron, lui, “récuse le terme de violences policières” estimant que “ces mots sont inacceptables dans un État de droit”. Mais certains de ces ministres ont récemment employé l'expression.

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