«Punition», «sans concertation»... Paris et Marseille dénoncent les nouvelles mesures de restriction

  • il y a 4 ans
La ville de Marseille, classée en zone «[px_nbsp:nbsp]d’alerte maximale[px_nbsp:nbsp]» au coronavirus, a réclamé jeudi un «[px_nbsp:nbsp]délai de dix jours[px_nbsp:nbsp]» avant la mise en oeuvre des mesures de restriction, dont la fermeture totale des bars et des restaurants ordonnée par le gouvernement. «[px_nbsp:nbsp]Une nouvelle fois, notre territoire est aujourd’hui sanctionné, puni, montré du doigt », a déploré l’élu, soulignant qu’il n’y avait eu, selon lui, «[px_nbsp:nbsp]aucune concertation ». 

«[px_nbsp:nbsp]Si à la fin de la semaine prochaine, les indicateurs repartent à la hausse, nous serons prêts à prendre les décisions qui s’imposent et qui seront alors comprises par tout le monde (...) D’ici là, il faut impérativement que les mesures soient gelées.[px_nbsp:nbsp]»

Anne Hidalgo, la maire socialiste de Paris, a elle fait part de son «[px_nbsp:nbsp]désaccord[px_nbsp:nbsp]». Paris et sa petite couronne, de même que Lille, Toulouse, Saint-Étienne, Rouen, Grenoble, Montpellier et Rennes, ont été placées en zone «[px_nbsp:nbsp]d’alerte renforcée[px_nbsp:nbsp]», avec fermeture des bars au plus tard à 22h00, réduction à 1.000 personnes de la jauge des rassemblements et interdiction des rassemblements de plus de 10 personnes dans l’espace public notamment.

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