Ces derniers jours, Donald Trump est déchaîné. Via son arme favorite, le tweet, il a accusé de meurtre – sans l'ombre d'une preuve – l'animateur d'une émission politique. Il s'est moqué de Joe Biden parce qu'il portait un masque, il a retweeté les élucubrations d'un extrémiste de droite qui a traité Hillary Clinton de « pouffiasse », il a mentionné des théories du complot accusant Obama d’espionnage. Cela fait des années qu'il affirme tout et n'importe quoi à ses quelque 80 millions de followers. Avec la bénédiction de Twitter, qui a toujours défendu sa liberté d’expression.