Afin de lutter contre l'obésité, la Banque mondiale souhaite taxer certains aliments

  • il y a 4 ans
Les pays pauvres et en développement sont les plus touchés par l’obésité, le surpoids et la sous-alimentation.

Trois quarts des adultes et 80 % des enfants de ces régions sont les plus touchés.

Une “épidémie discrète” qui représente un coût très élevé pour les pouvoirs publics.

Face à cette situation, la Banque mondiale appelle ces pays à taxer les aliments mauvais pour la santé.

Étant trop gras, trop sucrés, trop salés, ils provoquent des conséquences sanitaires graves.

L’obésité a des conséquences majeures sur les économies des pays et sur le capital humain.

La Banque mondiale suggère d’avoir recours à l’arme fiscale sur les produits gras, salés et sucrés.

"La taxe doit être suffisamment haute pour déclencher un changement chez le consommateur."

L’Organisation mondiale de la santé estime alors qu’une taxe de près de 20 % devrait être mise en place.

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