Les appartements de luxe restent inoccupés à New York
- il y a 4 ans
À New York, la tendance de la dernière décennie a consisté en la construction d'appartements de grand luxe, à l'intérieur de gratte-ciels.
Le "Billionaire’s row" est un parfait exemple de ce genre d'édifications.
Il s'agit d'une série d'immenses buildings (plus de 300 mètres de hauteur), situés juste au sud de Central Park, et bâtis entre 2014 et 2020.
C'est en 2003 que les promoteurs immobiliers ont décelé une opportunité en estimant qu'une explosion des prix était possible si on garantissait une vue panoramique de la ville dans chaque nouvel appartement de luxe.
En effet, un appartement avec vue sur Central Park s’est vendu à près de 43 millions de dollars, soit plus de 25 000 euros le mètre carré !
Depuis, la construction de tours et d’appartements destinés aux multimillionaires s'est multipliée et les prix se sont envolés.
Pourtant une crise du logement a bel et bien lieu au sein de The Big Apple...
Effectivement, les loyers sont inabordables et près de 79 000 personnes vivent dans la rue.
La ville aurait plutôt besoin de petits appartements, à une ou deux chambres, pour couple ou famille de classes populaire ou moyenne.
Le "Billionaire’s row" est un parfait exemple de ce genre d'édifications.
Il s'agit d'une série d'immenses buildings (plus de 300 mètres de hauteur), situés juste au sud de Central Park, et bâtis entre 2014 et 2020.
C'est en 2003 que les promoteurs immobiliers ont décelé une opportunité en estimant qu'une explosion des prix était possible si on garantissait une vue panoramique de la ville dans chaque nouvel appartement de luxe.
En effet, un appartement avec vue sur Central Park s’est vendu à près de 43 millions de dollars, soit plus de 25 000 euros le mètre carré !
Depuis, la construction de tours et d’appartements destinés aux multimillionaires s'est multipliée et les prix se sont envolés.
Pourtant une crise du logement a bel et bien lieu au sein de The Big Apple...
Effectivement, les loyers sont inabordables et près de 79 000 personnes vivent dans la rue.
La ville aurait plutôt besoin de petits appartements, à une ou deux chambres, pour couple ou famille de classes populaire ou moyenne.