Marvel Fitness condamné à 1 an de prison ferme pour « cyberharcèlement de meute »
- il y a 4 ans
Marvel Fitness, de son vrai nom Habannou S, fait parler de lui….
Le youtubeur (suivi par plus de 150 000 personnes sur sa chaîne) a été jugé le 21 septembre 2020.
par le tribunal de Versailles pour cyberharcèlement de meute.
Il est ainsi accusé d’avoir envoyé plusieurs milliers de messages de haine pendant près de 3 ans aux plaignants en incitant sa communauté à faire de même.
Et la sanction est lourde : 2 ans d’emprisonnement dont un an de prison ferme assorti d’un sursis probatoire de 3 ans avec interdiction de création et d’animation sur les réseaux sociaux.
Il est également condamné à une amende de 10 000 euros et une interdiction de rentrer en contact avec les victimes.
Une condamnation bien plus sévère que les réquisitions du parquet qui réclamait une peine de 12 mois de prison dont 8 mois ferme.
Pour l’avocate des parties civiles (3 hommes et 6 femmes), la sanction est exemplaire.
L’avocat du youtubeur a d’ores et déjà annoncé que son client allait faire appel.
Selon lui, la justice a voulu « faire un exemple » alors que des erreurs de procédure ont été commises.
Le cyberharcèlement de meute, aussi appelé « raid numérique » est une nouvelle notion qui a été intégrée dans le droit français.
Cela désigne le fait d’inciter d’autres personnes à entrer dans le mécanisme de cyberharcèlement provoquant des vagues de messages d’insultes.
C’est la première fois en France qu’une personne est condamnée à de la prison ferme pour ce fait.
Le youtubeur (suivi par plus de 150 000 personnes sur sa chaîne) a été jugé le 21 septembre 2020.
par le tribunal de Versailles pour cyberharcèlement de meute.
Il est ainsi accusé d’avoir envoyé plusieurs milliers de messages de haine pendant près de 3 ans aux plaignants en incitant sa communauté à faire de même.
Et la sanction est lourde : 2 ans d’emprisonnement dont un an de prison ferme assorti d’un sursis probatoire de 3 ans avec interdiction de création et d’animation sur les réseaux sociaux.
Il est également condamné à une amende de 10 000 euros et une interdiction de rentrer en contact avec les victimes.
Une condamnation bien plus sévère que les réquisitions du parquet qui réclamait une peine de 12 mois de prison dont 8 mois ferme.
Pour l’avocate des parties civiles (3 hommes et 6 femmes), la sanction est exemplaire.
L’avocat du youtubeur a d’ores et déjà annoncé que son client allait faire appel.
Selon lui, la justice a voulu « faire un exemple » alors que des erreurs de procédure ont été commises.
Le cyberharcèlement de meute, aussi appelé « raid numérique » est une nouvelle notion qui a été intégrée dans le droit français.
Cela désigne le fait d’inciter d’autres personnes à entrer dans le mécanisme de cyberharcèlement provoquant des vagues de messages d’insultes.
C’est la première fois en France qu’une personne est condamnée à de la prison ferme pour ce fait.