Étudiant immolé à Lyon. Deux mois après, il est toujours plongé dans un coma artificiel
- il y a 4 ans
Anas, l’étudiant qui s’est immolé par le feu le 8 novembre à Lyon pour dénoncer sa précarité et celle d’autres étudiants, est toujours placé en coma artificiel, deux mois après son geste.
Ce mercredi 8 janvier, Louise Bihan, une amie d’Anas, comme lui militante au syndicat Solidaires de l’université Lyon 2, a donné des nouvelles du jeune homme qui s’est immolé par le feu, le 8 novembre, à Lyon : Il n’y a pas d’évolution, il est toujours en coma artificiel, a-t-elle déclaré à l’AFP.
Sur une page Facebook créée par la famille, celle-ci indiquait fin décembre que l’étudiant, brûlé à 90 %, n’était toujours pas sorti d’affaires à cause du risque d’infections toujours très élevé.
« Notre Anas est incroyablement fort »
Il descend au bloc plusieurs fois par semaine. Notre Anas est incroyablement fort. Nous sommes tellement fiers de lui et de la manière dont il se bat, avait-elle encore écrit, précisant que plusieurs proches avaient passé les fêtes en sa compagnie au service des grands brûlés de l’hôpital Édouard-Herriot de Lyon.
Ce mercredi 8 janvier, Louise Bihan, une amie d’Anas, comme lui militante au syndicat Solidaires de l’université Lyon 2, a donné des nouvelles du jeune homme qui s’est immolé par le feu, le 8 novembre, à Lyon : Il n’y a pas d’évolution, il est toujours en coma artificiel, a-t-elle déclaré à l’AFP.
Sur une page Facebook créée par la famille, celle-ci indiquait fin décembre que l’étudiant, brûlé à 90 %, n’était toujours pas sorti d’affaires à cause du risque d’infections toujours très élevé.
« Notre Anas est incroyablement fort »
Il descend au bloc plusieurs fois par semaine. Notre Anas est incroyablement fort. Nous sommes tellement fiers de lui et de la manière dont il se bat, avait-elle encore écrit, précisant que plusieurs proches avaient passé les fêtes en sa compagnie au service des grands brûlés de l’hôpital Édouard-Herriot de Lyon.