Symbole de ces entreprises soupçonnées de profiter de la crise pour faire des économies, ArcelorMittal a essuyé la colère de ses salariés mercredi devant son siège français, situé à Saint-Denis. Une manifestation qui a rassemblé quelque 200 sidérurgistes, en révolte contre le plan de licenciement annoncé par le groupe, le 1er décembre dernier. www.foisere.info www.antennefo.fr www.leparisein.fr www.force-ouvriere.fr