Incendie de l’usine Lubrizol à Rouen. Des galettes d’hydrocarbures apparaissent sur la Seine
- il y a 5 ans
Incendie de l’usine Lubrizol à Rouen. Des galettes d’hydrocarbures apparaissent sur la Seine.
Des galettes d’hydrocarbures ont fait, vendredi 27 septembre, leur apparition sur la Seine à Rouen, à la suite de l’incendie à l’usine Lubrizol classée Seveso. L’État est en train d’armer un navire pour les récupérer.
« Il n’y en a pas des tonnes à mon avis, mais ça nécessite qu’on les récupère. On a demandé que ce soit fait cet après-midi. » Benoît Lemaire, directeur de cabinet du préfet de Normandie, a confirmé l’apparition de galettes d’hydrocarbures sur la Seine, ce vendredi, à Rouen, après l’incendie de l’usine Lubrizol. « Nous sommes en train d’armer un navire pour récupérer les galettes avec un chalut tampon, fait pour ramasser les hydrocarbures », a expliqué à l’Agence France Presse (AFP) le haut fonctionnaire.
Le préfet de Normandie, Pierre-André Durand, avait envisagé dès jeudi après-midi cette éventualité. Il n’est « pas impossible qu’on relève quelques traces au-delà des barrages à l’occasion de la marée », avait-il averti lors d’un point presse, mais elles seront « aisément récupérables, car en surface ».
Dans les jardins de la préfecture aussi
Des galettes ont aussi fait leur apparition, notamment dans les jardins de la préfecture, a confirmé vendredi le préfet Durand, lors d’une conférence de presse à la mi-journée. « Il y a une présence de suie qui peut être assez marquée dans certaines zones du territoire », avait-il indiqué un peu plus tôt dans la matinée. « C’est de la suie qui s’est agglomérée du fait de la pluie, une combinaison d’additifs d’huile de moteur et d’hydrocarbures », a précisé le préfet.
L’incendie, qui s’était déclenché jeudi vers 2 h 40 du matin, est maintenant éteint, a annoncé vendredi matin la préfecture. Classée Seveso haut (le seuil le plus élevé), l’usine de Rouen produit et conditionne des additifs pour les huiles de moteur.
Des galettes d’hydrocarbures ont fait, vendredi 27 septembre, leur apparition sur la Seine à Rouen, à la suite de l’incendie à l’usine Lubrizol classée Seveso. L’État est en train d’armer un navire pour les récupérer.
« Il n’y en a pas des tonnes à mon avis, mais ça nécessite qu’on les récupère. On a demandé que ce soit fait cet après-midi. » Benoît Lemaire, directeur de cabinet du préfet de Normandie, a confirmé l’apparition de galettes d’hydrocarbures sur la Seine, ce vendredi, à Rouen, après l’incendie de l’usine Lubrizol. « Nous sommes en train d’armer un navire pour récupérer les galettes avec un chalut tampon, fait pour ramasser les hydrocarbures », a expliqué à l’Agence France Presse (AFP) le haut fonctionnaire.
Le préfet de Normandie, Pierre-André Durand, avait envisagé dès jeudi après-midi cette éventualité. Il n’est « pas impossible qu’on relève quelques traces au-delà des barrages à l’occasion de la marée », avait-il averti lors d’un point presse, mais elles seront « aisément récupérables, car en surface ».
Dans les jardins de la préfecture aussi
Des galettes ont aussi fait leur apparition, notamment dans les jardins de la préfecture, a confirmé vendredi le préfet Durand, lors d’une conférence de presse à la mi-journée. « Il y a une présence de suie qui peut être assez marquée dans certaines zones du territoire », avait-il indiqué un peu plus tôt dans la matinée. « C’est de la suie qui s’est agglomérée du fait de la pluie, une combinaison d’additifs d’huile de moteur et d’hydrocarbures », a précisé le préfet.
L’incendie, qui s’était déclenché jeudi vers 2 h 40 du matin, est maintenant éteint, a annoncé vendredi matin la préfecture. Classée Seveso haut (le seuil le plus élevé), l’usine de Rouen produit et conditionne des additifs pour les huiles de moteur.