Santé - Pilule du lendemain : le vrai / faux
- il y a 5 ans
Chroniqueuse : Laurence Ostolaza
Ce 26 septembre est la Journée mondiale de la contraception.
A l’occasion de cette journée, focus sur un sujet qui a fait le buzz sur les réseaux sociaux à cause d'une blogueuse très connue qui a mis gravement en cause l’efficacité de la pilule contraceptive.
Plus généralement, les réseaux sociaux sont le terrain de fausses informations, et quand elles concernent des sujets de santé, l’impact est néfaste auprès des jeunes.
Autre exemple, ce qui se dit sur la pilule du lendemain.
Sur les réseaux sociaux, on peut lire que cette pilule pourrait à terme « rendre la femme stérile ».
Faux.
Un rapport validé par la Fédération internationale de gynécologie et publié l'an dernier montre qu'aucun « décès ou complication sérieuse » n'a été lié à une prise de contraception d'urgence.
Elle est l'un des moyens d'empêcher le déclenchement d'une grossesse non désirée après un rapport sexuel. Un moyen mal connu que même certains pharmaciens accusent d'être mauvais pour la santé, comme le montrait un récent article du journal Libération.
Elle est gratuite et accessible aux mineurs, en pharmacie ou auprès des plannings familiaux.
Ce 26 septembre est la Journée mondiale de la contraception.
A l’occasion de cette journée, focus sur un sujet qui a fait le buzz sur les réseaux sociaux à cause d'une blogueuse très connue qui a mis gravement en cause l’efficacité de la pilule contraceptive.
Plus généralement, les réseaux sociaux sont le terrain de fausses informations, et quand elles concernent des sujets de santé, l’impact est néfaste auprès des jeunes.
Autre exemple, ce qui se dit sur la pilule du lendemain.
Sur les réseaux sociaux, on peut lire que cette pilule pourrait à terme « rendre la femme stérile ».
Faux.
Un rapport validé par la Fédération internationale de gynécologie et publié l'an dernier montre qu'aucun « décès ou complication sérieuse » n'a été lié à une prise de contraception d'urgence.
Elle est l'un des moyens d'empêcher le déclenchement d'une grossesse non désirée après un rapport sexuel. Un moyen mal connu que même certains pharmaciens accusent d'être mauvais pour la santé, comme le montrait un récent article du journal Libération.
Elle est gratuite et accessible aux mineurs, en pharmacie ou auprès des plannings familiaux.