Futur Parquet européen : Paris soutiendrait désormais la candidature de la Roumaine Laura Kovesi
- il y a 5 ans
Le président du groupe centriste et libéral au Parlement européen, Dacian Ciolos, a annoncé mardi lors d’une conférence de presse que la candidature de l’ancienne cheffe du parquet anti-corruption de la Roumanie serait désormais soutenue par Paris. Elle est actuellement opposée à un Français pour devenir la cheffe du nouveau Parquet européen, qui sera opérationnel à la fin de l’année prochaine.
Conséquence de la valse des nominations aux postes clés au niveau européen ? Dacian Ciolos, eurodéputé roumain et chef des troupes des Libéraux au Parlement européen, a affirmé ce mardi 16 juillet que la France soutenait désormais la candidature de la Roumaine Laura Kovesi pour devenir cheffe du futur Parquet européen, qui sera opérationnel d’ici fin 2020.
« Paris va notifier sa décision au Conseil européen dans un futur proche », a déclaré Dacian Ciolos lors d’une conférence de presse au Parlement européen à Strasbourg. Des propos relayés sur Twitter par la journaliste du journal britannique Financial Times, Merheen Kahn.
Les deux autres candidats à ce poste sont le Français Jean-François Bohnert et l’Allemand Andres Ritter. Mais avec les nominations de l’Allemande Ursula von der Leyen à la présidence de la Commission et de la Française Christine Lagarde à la Banque centrale européenne, difficile pour les deux autres candidats de bénéficier du même soutien de leur gouvernement pour un poste important.
De plus, la nomination d’une personnalité roumaine enverrait un signal fort pour les anciens pays d’Europe de l’Est qui n’ont pas eu de postes clés dans les institutions européennes jusqu’à présent.
Conséquence de la valse des nominations aux postes clés au niveau européen ? Dacian Ciolos, eurodéputé roumain et chef des troupes des Libéraux au Parlement européen, a affirmé ce mardi 16 juillet que la France soutenait désormais la candidature de la Roumaine Laura Kovesi pour devenir cheffe du futur Parquet européen, qui sera opérationnel d’ici fin 2020.
« Paris va notifier sa décision au Conseil européen dans un futur proche », a déclaré Dacian Ciolos lors d’une conférence de presse au Parlement européen à Strasbourg. Des propos relayés sur Twitter par la journaliste du journal britannique Financial Times, Merheen Kahn.
Les deux autres candidats à ce poste sont le Français Jean-François Bohnert et l’Allemand Andres Ritter. Mais avec les nominations de l’Allemande Ursula von der Leyen à la présidence de la Commission et de la Française Christine Lagarde à la Banque centrale européenne, difficile pour les deux autres candidats de bénéficier du même soutien de leur gouvernement pour un poste important.
De plus, la nomination d’une personnalité roumaine enverrait un signal fort pour les anciens pays d’Europe de l’Est qui n’ont pas eu de postes clés dans les institutions européennes jusqu’à présent.