Médecin, compétences CRIMINELLES. Calvaire de Marc.
- il y a 16 ans
HONTE A VOUS, TOUS LES COMITES DE SOUTIEN POUR CES MEDECINS CRIMINELS DE AUBY QUE J'AI PU VOIR ICI OU LA DEPUIS 2006 !!!
Les médecins ne sont pas tous ainsi, ok, et heureusement...
Mais quand on a affaire à de la POURRITURE, des bouches à fric qui se moquent ainsi de leurs patients...
C'est une honte de vouloir les soutenir au nom d'une profession honorable.
L’honneur, c’est justement de traquer et chasser ces criminels qui font honte à la profession !!!
Depuis quand en France, la population se mobilise pour soutenir des incapables tendance meurtriers ??!!
A quand le comité de soutien pour tous les criminels de France ?
Pffff !!! HONTE A VOUS !!!!
Alizoh8
Médecin, poursuivi pour non-assistance à personne en danger a vu l'enfant le 17 janvier 2006 : « Ce jour-là, elle (Isabelle Gosselin) est venue uniquement pour elle, elle était stressée, insomniaque », explique-t-il.
La mère, elle, dit qu'elle est « venue seule pour parler des problèmes de Marc, renouveler (son)traitement et prendre un arrêt de travail ».
Deux versions qui s'opposent et la cour qui recommence à tourner en rond. Qui dit la vérité ? « Qu'elle arrête un peu de mentir ! », lance Yves Gosselin, le grand-père.
Le médecin aurait bien vu Marc ce jour-là. « Je me suis intéressé à l'enfant car il courait, montait sur la table d'examen, poursuit Michel Vellemans. Il me faisait penser à un hyperactif mais je me suis étonné de son absence d'expression. »
L'auscultation est rapide : « J'ai examiné les fonctions vitales. » Luc Frémiot, l'avocat général, insiste : « On sait qu'au moment où vous dites avoir vu l'enfant le 17 janvier, il ne marche pas bien, il est courbé avec un bassin fracturé et des côtes cassées... Comment se fait-il que vous ne procédiez pas à un examen complet ? »
« Je n'ai pas d'explication, répond le médecin. J'ai dû le faire... » Sans toutefois enlever le maillot de corps.
Les médecins ne sont pas tous ainsi, ok, et heureusement...
Mais quand on a affaire à de la POURRITURE, des bouches à fric qui se moquent ainsi de leurs patients...
C'est une honte de vouloir les soutenir au nom d'une profession honorable.
L’honneur, c’est justement de traquer et chasser ces criminels qui font honte à la profession !!!
Depuis quand en France, la population se mobilise pour soutenir des incapables tendance meurtriers ??!!
A quand le comité de soutien pour tous les criminels de France ?
Pffff !!! HONTE A VOUS !!!!
Alizoh8
Médecin, poursuivi pour non-assistance à personne en danger a vu l'enfant le 17 janvier 2006 : « Ce jour-là, elle (Isabelle Gosselin) est venue uniquement pour elle, elle était stressée, insomniaque », explique-t-il.
La mère, elle, dit qu'elle est « venue seule pour parler des problèmes de Marc, renouveler (son)traitement et prendre un arrêt de travail ».
Deux versions qui s'opposent et la cour qui recommence à tourner en rond. Qui dit la vérité ? « Qu'elle arrête un peu de mentir ! », lance Yves Gosselin, le grand-père.
Le médecin aurait bien vu Marc ce jour-là. « Je me suis intéressé à l'enfant car il courait, montait sur la table d'examen, poursuit Michel Vellemans. Il me faisait penser à un hyperactif mais je me suis étonné de son absence d'expression. »
L'auscultation est rapide : « J'ai examiné les fonctions vitales. » Luc Frémiot, l'avocat général, insiste : « On sait qu'au moment où vous dites avoir vu l'enfant le 17 janvier, il ne marche pas bien, il est courbé avec un bassin fracturé et des côtes cassées... Comment se fait-il que vous ne procédiez pas à un examen complet ? »
« Je n'ai pas d'explication, répond le médecin. J'ai dû le faire... » Sans toutefois enlever le maillot de corps.