Nantes. Une opération du Raid en cours à l’opéra Graslin, les spectateurs évacués
- il y a 5 ans
Militaires et policiers interviennent à l’opéra Graslin, à Nantes, depuis environ 20 h, ce mardi 18 juin. « Nous avons eu l’information selon laquelle un groupe armé avait fait irruption », informe le préfet.
À 21 h 22, ce mardi 18 juin, quatre hommes armés du Raid ont pénétré dans l’opéra Graslin, à Nantes. Ils ont ensuite commencé à évacuer les spectateurs, dix par dix, après contrôle d’identité. C’est la chanteuse iranienne Sahar Mohammadi qui était programmée.
Ce n’est pas la première fois que le spectacle de l’artiste iranienne est perturbé par une alerte à la bombe. C’était déjà le cas à Langon, en Gironde, il y a deux ans. L’opération avait nécessité un grand périmètre de sécurité autour de la salle.
« Nous avons eu l’information selon laquelle un groupe armé avait fait irruption à l’intérieur du théâtre Graslin, confirme le préfet Claude d’Harcourt. Ce type d’événement s’est déjà produit lors des spectacles de Sahar Mohammadi, dans d’autres villes. »
Depuis environ 20 h, une quinzaine de policiers armés portant des gilets pare-balles et des militaires sont sur place, ainsi que le raid.
La place Graslin est partiellement bouclée.
À 21 h 22, ce mardi 18 juin, quatre hommes armés du Raid ont pénétré dans l’opéra Graslin, à Nantes. Ils ont ensuite commencé à évacuer les spectateurs, dix par dix, après contrôle d’identité. C’est la chanteuse iranienne Sahar Mohammadi qui était programmée.
Ce n’est pas la première fois que le spectacle de l’artiste iranienne est perturbé par une alerte à la bombe. C’était déjà le cas à Langon, en Gironde, il y a deux ans. L’opération avait nécessité un grand périmètre de sécurité autour de la salle.
« Nous avons eu l’information selon laquelle un groupe armé avait fait irruption à l’intérieur du théâtre Graslin, confirme le préfet Claude d’Harcourt. Ce type d’événement s’est déjà produit lors des spectacles de Sahar Mohammadi, dans d’autres villes. »
Depuis environ 20 h, une quinzaine de policiers armés portant des gilets pare-balles et des militaires sont sur place, ainsi que le raid.
La place Graslin est partiellement bouclée.