Liban. Un jeune militaire français décède après un accident en opération
- il y a 5 ans
Le 501e régiment de chars de combat a annoncé, mardi 28 mai, la mort du brigadier Erwan Potier, originaire de l’Oise. Il était hospitalisé depuis plus d’un an après avoir été grièvement blessé lors d’un accident en opération extérieure au Liban.
La date de son décès remonte au 21 mai. Le brigadier français Erwan Potier est mort, a annoncé, mardi, le 501e régiment de chars de combat sur les réseaux sociaux. Erwan Potier, né à Senlis, dans l’Oise, était âgé de 23 ans. Le 12 février 2018, au cours d’un déplacement, ce chasseur de première classe avait été grièvement blessé lors d’un accident en véhicule blindé léger, dans le cadre d’une opération extérieure au Liban.
Rapatrié dans un avion médicalisé pour être admis en service de réanimation de l’hôpital militaire à Percy (Hauts-de-Seine), il avait ensuite été transféré dans un établissement spécialisé en juin 2018. « Toujours volontaire, il a, au-delà de sa mission, participé à la vie de groupe et du peloton avec rigueur et spontanéité. Ses chefs comme ses pairs saluent en lui le soldat très professionnel, le camarade attachant et le frère d’armes fidèle », écrit le régiment. Il avait été promu au grade de brigadier à titre exceptionnel le 21 mai 2019, après son décès.
Après avoir obtenu un CAP installateur thermique, il avait fait le choix du métier des armes en entamant une carrière en qualité d’engagé volontaire de l’armée de terre pour une durée de trois ans à partir du 2 août 2016. C’est là qu’il avait rejoint le 501e régiment de chars de combat, basé à Mourmelon-le-Grand (Marne).
La date de son décès remonte au 21 mai. Le brigadier français Erwan Potier est mort, a annoncé, mardi, le 501e régiment de chars de combat sur les réseaux sociaux. Erwan Potier, né à Senlis, dans l’Oise, était âgé de 23 ans. Le 12 février 2018, au cours d’un déplacement, ce chasseur de première classe avait été grièvement blessé lors d’un accident en véhicule blindé léger, dans le cadre d’une opération extérieure au Liban.
Rapatrié dans un avion médicalisé pour être admis en service de réanimation de l’hôpital militaire à Percy (Hauts-de-Seine), il avait ensuite été transféré dans un établissement spécialisé en juin 2018. « Toujours volontaire, il a, au-delà de sa mission, participé à la vie de groupe et du peloton avec rigueur et spontanéité. Ses chefs comme ses pairs saluent en lui le soldat très professionnel, le camarade attachant et le frère d’armes fidèle », écrit le régiment. Il avait été promu au grade de brigadier à titre exceptionnel le 21 mai 2019, après son décès.
Après avoir obtenu un CAP installateur thermique, il avait fait le choix du métier des armes en entamant une carrière en qualité d’engagé volontaire de l’armée de terre pour une durée de trois ans à partir du 2 août 2016. C’est là qu’il avait rejoint le 501e régiment de chars de combat, basé à Mourmelon-le-Grand (Marne).