Ames obscures 2 - partie 230 - "Péris dans la gouttière et parmi les déchets!"

Malgré mes réclamations d'avoir pris en considération les risques de mes tactiques du temps d'avant le plan, intégrant en soi l'invocation de personnages, semblablement mon idiotie complète insiste de continuer à envoyer le jambon au rebord de la plateforme de l'Ancien Chaos, sans que moi-même je sois sûr si c'est dû à la manière d'action à laquelle je me suis possiblement habitué, en jouant selon elle pour plusieurs heures qui se rendent précédant l'idée d'utiliser de l'humanité ou si c'est plutôt une réaction purement instinctive, évoquée par mon désir de m'éloigner du point central du champ de bataille en attirant des cibles singuliers vers ma position...mais - enfin - ça me donne ni de réussites définitives, ni de garanti que des échecs seront évités pendant l'assaut des chevaliers carbonisés et - donc - avant l'arrivée du Roi - toujours soit la hallebarde d'un des adversaires atteint dans son accélération la chair de notre personnage entièrement offensif en la perforante effectivement, soit les pyromancies des ennemis se font la trajectoire jusqu'à moi, incinérant le dirigeant de cette opposition, comme si privée de chances de vainqueur, le ramenant au feu de la Cathédrale, duquel je retourne à Majula pour avoir mes bagues réparées et repartir sur la route (inéluctable) des épreuves menante au symbole du fondateur de la Ville Glaciale. Avec les derniers essais, il commence à me sembler que la quantité de fois que l'on parvienne à bloquer tous les portails, laissant rien que de combattre le Roi lui-même a diminué considérablement mais je continue à forcer le jambon en avant, sachant que seules mes compétences seront loin qu'assez de vaincre le monarque tout puissant et il ne reste que de compter sur une tentative chanceuse d'arriver où mes alliés...pratiquement gagnent la bataille pour moi...
...et cette coïncidence d’évènements favorables a vraiment lieu - l'avant dernier chevalier de Loyce gèle le dernier passage avec un petit retard mais - en tous cas - c'est trois et un jambon effrayé contre le Roi d'Ivoire brûlé - pour commencer avec, l'adversaire est bien distrait sur les autres participants dans la lutte, donnant beaucoup d'ouvertures pour des coups de gaufrette, cette tendance se développe même quand il s'infuse l'arme, car même quand je reste loin, toutes ses attaques perforantes sont lancées dans la direction des personnages (qui sont immunes à l'effet le plus dévastateur de ses poussées, d'ailleurs), ajoutez mon cerveau non existant qui devine les instants quand il faut s'éloigner des stalagmites et...le Roi est vaincu, sa couronne - dans la possession du jambon.
Sur la surface, Alsanna admet qu'elle cherchait ce Roi pour se calmer les peurs, car elle constate qu'elle représente le fragment le plus frêle de l’Abîme, souhaitant rien d'autre que d'avoir les âmes des chevaliers de Loyce purifiées. Ne voulant point retourner au Chaos, je pars égoïstement de la ville, restaurant l'espadon de cet ancien Roi comme symbole de la victoire.