Emprisonner les dirigeants de réseaux sociaux à cause du contenu violent
- il y a 5 ans
Le gouvernement australien veut faire adopter des mesures-choc concernant les réseaux sociaux.
Ces mesures arrivent quelques semaines après l’attentat de Christchurch, diffusé en direct par l’assaillant sur Facebook.
La vidéo de l’attentat de Christchurch avait été visionnée en direct par 4 000 personnes sur Facebook.
Ces mesures permettraient à l’Australie de prononcer des peines de prison pour les dirigeants des réseaux sociaux.
Ils pourraient risquer jusqu’à trois ans d’emprisonnement si leur réseaux sociaux ont diffusé ce genre de contenus.
Les lois couvriraient la diffusion de meurtre, tentative de meurtre, viol, enlèvement ou contenu terroriste.
Les réseaux sociaux seraient également tenus d’aviser le plus rapidement possible la police fédérale australienne.
Ces mesures arrivent quelques semaines après l’attentat de Christchurch, diffusé en direct par l’assaillant sur Facebook.
La vidéo de l’attentat de Christchurch avait été visionnée en direct par 4 000 personnes sur Facebook.
Ces mesures permettraient à l’Australie de prononcer des peines de prison pour les dirigeants des réseaux sociaux.
Ils pourraient risquer jusqu’à trois ans d’emprisonnement si leur réseaux sociaux ont diffusé ce genre de contenus.
Les lois couvriraient la diffusion de meurtre, tentative de meurtre, viol, enlèvement ou contenu terroriste.
Les réseaux sociaux seraient également tenus d’aviser le plus rapidement possible la police fédérale australienne.