Christophe Castaner dément s’être fait « engueuler » par Emmanuel Macron.
- il y a 5 ans
Christophe Castaner dément s’être fait « engueuler » par Emmanuel Macron.
Le ministre de l’Intérieur assure qu’il n’a pas pensé à démissionner après les violences de samedi, pendant la mobilisation des Gilets jaunes sur les Champs-Élysées, à Paris. Et dément avoir reçu une « soufflante » de la part du Président.
Dans l’œil du cyclone depuis plusieurs jours, Christophe Castaner est toujours ministre de l’Intérieur. Et à l’entendre, il n’a pas eu droit à quelconque avertissement ou « remontage de bretelles » de la part du président de la République, comme plusieurs médias l’ont rapporté.
« J’ai échangé avec Emmanuel Macron samedi toute la journée, je l’ai vu samedi soir, j’ai échangé avec lui à plusieurs reprises dimanche, je l’ai encore vu hier (lundi). À aucun moment je ne me suis fait engueuler », a-t-il déclaré, ce mardi matin, sur France Inter.
« Mais j’aurais parfaitement compris que le président de la République m’engueule, et en plus nos relations le permettent », a ajouté ce partisan de la première heure d’Emmanuel Macron. « Si Emmanuel Macron a quelque chose à dire, il le dit et il ne tourne pas autour du pot », a commenté le locataire de la place Beauvau.
Il n’a pas pensé à démissionner
Il a juré ne pas avoir pensé démissionner au soir des destructions les plus graves qu’aient subies les Champs-Élysées depuis le début du mouvement des Gilets jaunes.
« J’assume totalement mes responsabilités sur mes décisions », a assuré Christophe Castaner, ce mardi.
Le préfet Delpuech a trinqué
L’opposition de droite comme de gauche a mis en cause le ministre de l’Intérieur mais le Premier ministre, Édouard Philippe, a lui aussi assuré, lundi soir sur France 2, que sa démission n’avait pas été envisagée.
Le ministre de l’Intérieur assure qu’il n’a pas pensé à démissionner après les violences de samedi, pendant la mobilisation des Gilets jaunes sur les Champs-Élysées, à Paris. Et dément avoir reçu une « soufflante » de la part du Président.
Dans l’œil du cyclone depuis plusieurs jours, Christophe Castaner est toujours ministre de l’Intérieur. Et à l’entendre, il n’a pas eu droit à quelconque avertissement ou « remontage de bretelles » de la part du président de la République, comme plusieurs médias l’ont rapporté.
« J’ai échangé avec Emmanuel Macron samedi toute la journée, je l’ai vu samedi soir, j’ai échangé avec lui à plusieurs reprises dimanche, je l’ai encore vu hier (lundi). À aucun moment je ne me suis fait engueuler », a-t-il déclaré, ce mardi matin, sur France Inter.
« Mais j’aurais parfaitement compris que le président de la République m’engueule, et en plus nos relations le permettent », a ajouté ce partisan de la première heure d’Emmanuel Macron. « Si Emmanuel Macron a quelque chose à dire, il le dit et il ne tourne pas autour du pot », a commenté le locataire de la place Beauvau.
Il n’a pas pensé à démissionner
Il a juré ne pas avoir pensé démissionner au soir des destructions les plus graves qu’aient subies les Champs-Élysées depuis le début du mouvement des Gilets jaunes.
« J’assume totalement mes responsabilités sur mes décisions », a assuré Christophe Castaner, ce mardi.
Le préfet Delpuech a trinqué
L’opposition de droite comme de gauche a mis en cause le ministre de l’Intérieur mais le Premier ministre, Édouard Philippe, a lui aussi assuré, lundi soir sur France 2, que sa démission n’avait pas été envisagée.