Gilets jaunes. Le porte-parole du gouvernement évacué de son ministère après l'intrusion de manifestants
- il y a 5 ans
Selon le Parisien, des individus, dont on ne sait pas encore s'ils sont liés ou non au mouvement des Gilets jaunes, auraient défoncé la porte du secrétariat d'Etat de Benjamin Griveaux, le porte-parole du gouvernement, rue de Grenelle à Paris. L'intrusion aurait eu lieu au moyen d'un engin de chantier.
L'acte VIII du mouvement des Gilets jaunes qui se tenaient aujourd'hui à Paris et dans le reste de la France renoue avec les débordements violents qui ont eu lieu plus tôt, lors des actes II et III. Selon le Parisien, le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a dû être évacué de ses bureaux, situés rue de Grenelle à Paris, après que des manifestants, « certains habillés en noir, d'autres avec un gilet jaune » sont parvenus à défoncer les portes du bâtiment.
Benjamin Griveaux a expliqué qu'« il y avait des Gilets jaunes, des gens habillés en noir [...] qui ont pris un engin de chantier qui était dans la rue, et qui ont défoncé la porte du ministère [...] et cassé deux voitures ». Le porte-parole du gouvernement a dénoncé une agression « inacceptable ».
Le témoin cité par le Parisien et présent sur place donne la même version, « vers 16h30, une quinzaine de personnes, certaines habillées en noir, d’autres avec un gilet jaune, ont défoncé la porte du ministère avec un engin de chantier », explique-t-il.
L'acte VIII du mouvement des Gilets jaunes qui se tenaient aujourd'hui à Paris et dans le reste de la France renoue avec les débordements violents qui ont eu lieu plus tôt, lors des actes II et III. Selon le Parisien, le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a dû être évacué de ses bureaux, situés rue de Grenelle à Paris, après que des manifestants, « certains habillés en noir, d'autres avec un gilet jaune » sont parvenus à défoncer les portes du bâtiment.
Benjamin Griveaux a expliqué qu'« il y avait des Gilets jaunes, des gens habillés en noir [...] qui ont pris un engin de chantier qui était dans la rue, et qui ont défoncé la porte du ministère [...] et cassé deux voitures ». Le porte-parole du gouvernement a dénoncé une agression « inacceptable ».
Le témoin cité par le Parisien et présent sur place donne la même version, « vers 16h30, une quinzaine de personnes, certaines habillées en noir, d’autres avec un gilet jaune, ont défoncé la porte du ministère avec un engin de chantier », explique-t-il.