Quand Gaspard Gantzer conseille à François Hollande de ne pas parler d’Emmanuel Macron
- il y a 5 ans
L’ancien conseiller en communication du président socialiste l’invite à garder privées ses remarques sur son successeur.
« Il ferait mieux de se concentrer sur la France et l’Europe sans commenter ce que fait son successeur. » La petite phrase est signée Gaspard Gantzer, ancien conseiller en communication de l’Élysée, quand François Hollande était aux commandes de la France.
Invité de Franceinfo le 1er janvier, le président du mouvement « Parisiennes, Parisiens », lancé en vue des municipales 2020 à Paris, a évoqué la passe d’armes récurrente entre François Hollande et Emmanuel Macron.
Après avoir qualifié Emmanuel Macron de « président des très riches » en avril 2018, l’ex-président socialiste a multiplié les petites piques à l’encontre de son successeur à l’Élysée.
« Il ne peut pas y avoir d’adhésion à une politique si elle n’est pas juste », a-t-il par exemple commenté, fin novembre, après avoir rencontré des Gilets jaunes dans le Tarn-et-Garonne. Du « cynisme » avait répondu Emmanuel Macron, alors en déplacement à Buenos Aires (Argentine) pour le G20.
« Il ferait mieux de se concentrer sur la France et l’Europe sans commenter ce que fait son successeur. » La petite phrase est signée Gaspard Gantzer, ancien conseiller en communication de l’Élysée, quand François Hollande était aux commandes de la France.
Invité de Franceinfo le 1er janvier, le président du mouvement « Parisiennes, Parisiens », lancé en vue des municipales 2020 à Paris, a évoqué la passe d’armes récurrente entre François Hollande et Emmanuel Macron.
Après avoir qualifié Emmanuel Macron de « président des très riches » en avril 2018, l’ex-président socialiste a multiplié les petites piques à l’encontre de son successeur à l’Élysée.
« Il ne peut pas y avoir d’adhésion à une politique si elle n’est pas juste », a-t-il par exemple commenté, fin novembre, après avoir rencontré des Gilets jaunes dans le Tarn-et-Garonne. Du « cynisme » avait répondu Emmanuel Macron, alors en déplacement à Buenos Aires (Argentine) pour le G20.