"On travaille pour se retrouver pratiquement à la rue, ça me débecte", gronde ce gilet jaune, les larmes aux yeux
  • il y a 5 ans
Georges est présent parmi les gilets jaunes depuis le premier jour. Ce retraité, qui voit sa retraite augmenter de 43 centimes par mois, témoigne de son ras-le-bol. "On travaille pour se retrouver pratiquement à la rue, mon fils est obligé de manger aux Restos du cœur, ça me débecte", gronde-t-il.
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