Dans un contexte de hausse du carburant, Edouard Philippe a annoncé mercredi une série de mesures pour soulager les Français. Des mesures critiquées par les membres de l'opposition.
Marine Le Pen est revenue sur l'un de ces annonces : la suppression du chauffage au fioul d'ici dix ans. Pour la présidente du Rassemblement National, cela représente «un surcoût considérable» pour les contribuables.

Du côté des Républicains, le député du Pas-de-Calais, Daniel Fasquel, appelle à «l'ouverture du dialogue avec les Français» afin de trouver des solutions.

Le son de cloche est différent du côté de Ségolène Royal qui avance que les mesures du gouvernement sont «mieux que rien».

Concernant les mesures annoncées par le Premier ministre, une enveloppe d'un montant de 500 millions d'euros est avancée et elles devraient entrer en vigueur le 1er janvier 2019.