Tour d'Espagne 2018 - Simon Yates : "J'ai de l'appréhension (...)Je ne sais toujours pas pourquoi j’ai craqué sur le Giro"
- il y a 6 ans
Alors que beaucoup pensaient qu'il allait perdre son maillot rouge au profit d'Alejandro Valverde (Movistar), Simon Yates (Mitchelton-Scott) a fait mieux que se défendre sur le contre-la-montre de la 16e étape du Tour d'Espagne. Le Britannique a terminé à une très belle 13e place et a repris du temps à la plupart de ses concurrents directs : 7'' à Valverde, 42'' à Nairo Quintana (Movistar), 43'' à Thibaut Pinot (Groupama-FDJ) et 51'' à Miguel Angel Lopez (Astana).
Une très belle performance qui le rend forcément heureux : "Je suis content de ma performance. J’ai augmenté mon avance au général donc en ce qui me concerne c’est une très bonne journée", a-t-il expliqué. "Je n’étais pas préoccupé pour aujourd’hui parce que je progresse petit à petit dans le chrono. J’ai beaucoup travaillé. Je n’ai pas peur des contre-la-montre et en fait je les aime bien. Mais il reste beaucoup de chemin jusqu’à Madrid. J’ai de l’appréhension pour les prochaines étapes, particulièrement demain (mercredi) et Andorre (20e étape). Je m’attendais à des journées difficiles."
Surtout qu'il était dans la même situation en mai dernier sur le Tour d'Italie, où il survolait la course (3 victoires d'étapes et le maillot rose sur les épaules) avant de sombrer dans la dernière semaine : "Nos rivaux sont très proches. Je ne sais toujours pas pourquoi j’ai craqué sur le Giro. J’espère ne pas avoir une journée comme ça mais c’est toujours une possibilité. J’ai eu une préparation différente. Je suis venu ici avec l’idée de m’améliorer au fil de la course parce que j’ai aussi les Mondiaux à l’esprit. Je me sens à peu près au même niveau. Les sensations sont très bonnes. Parfois, l’attaque est la meilleure des défenses. Tout dépend de la situation de course mais s’il y a des secondes à gagner dans les arrivées je dois y aller", a-t-il conclu.
Une très belle performance qui le rend forcément heureux : "Je suis content de ma performance. J’ai augmenté mon avance au général donc en ce qui me concerne c’est une très bonne journée", a-t-il expliqué. "Je n’étais pas préoccupé pour aujourd’hui parce que je progresse petit à petit dans le chrono. J’ai beaucoup travaillé. Je n’ai pas peur des contre-la-montre et en fait je les aime bien. Mais il reste beaucoup de chemin jusqu’à Madrid. J’ai de l’appréhension pour les prochaines étapes, particulièrement demain (mercredi) et Andorre (20e étape). Je m’attendais à des journées difficiles."
Surtout qu'il était dans la même situation en mai dernier sur le Tour d'Italie, où il survolait la course (3 victoires d'étapes et le maillot rose sur les épaules) avant de sombrer dans la dernière semaine : "Nos rivaux sont très proches. Je ne sais toujours pas pourquoi j’ai craqué sur le Giro. J’espère ne pas avoir une journée comme ça mais c’est toujours une possibilité. J’ai eu une préparation différente. Je suis venu ici avec l’idée de m’améliorer au fil de la course parce que j’ai aussi les Mondiaux à l’esprit. Je me sens à peu près au même niveau. Les sensations sont très bonnes. Parfois, l’attaque est la meilleure des défenses. Tout dépend de la situation de course mais s’il y a des secondes à gagner dans les arrivées je dois y aller", a-t-il conclu.