Pierre Rosanvallon : "Le populisme organise des communautés de répulsion et de colère"

Pierre Rosanvallon, historien et sociologue : "A l'origine, le terme de populisme avait été inventé par des ennemis des régimes latino-américains. Aujourd'hui, ceux-là même qu'on accusait de populisme disent revendiquer ce terme."

Pierre Rosanvallon, historien et sociologue : "Le populisme-proposition n'a jamais fait l'objet d'une analyse de fond. Il n'a pas d'oeuvre fondatrice, comme Marx pour le communisme ou Jaurès pour le socialisme."

Pierre Rosanvallon écrit l'histoire du populisme : "Quand on relit Napoléon III, on voit Orban ou Trump"

Jean-Joseph Boillot : "Le modèle de la frugalité repose sur des systèmes de communautés fédérales"

Nicole Belloubet, ministre de la Justice : "Nous devons tout faire pour éviter une guerre des communautés"

"Les communautés invisibles sont au coeur du débat"

Le sociologue Pierre Rosanvallon et les gilets jaunes : "c'est une colère sourde"

Pierre Rosanvallon : "La politique, c'est d'abord celle qui dit ce que sont les priorités pour une société."

Daniel Cohen, sur les origines du populisme : "On montre que c’est la colère qui habite les électeurs des deux radicalités, un peu plus pour Marine le Pen que Jean-Luc Mélenchon"

Dominique Reynié : "Le populisme est une entreprise politique, c'est une technique de conservation du pouvoir ou de prise du pouvoir"

Xavier Bertrand : "Le populisme n'est certainement pas un modèle. Si j'ai des modèles, ils sont dans la vie politique française, mais ce n'est certainement pas monsieur Trump."

Sibylle Rizk : "La classe politique libanaise, couplée à une oligarchie financière, a organisé une redistribution de l'argent public sur le dos de l'ensemble de la population"

Propos de Jean-Luc Mélenchon : "Laisser penser que tout cela serait organisé par une main puissante politique est moche" (Christophe Castaner)

Jean-Louis Bourlanges : "Sans doute, on n'aurait pas dû organiser la majorité comme on l'a fait, on n'aurait pas dû écraser les sensibilités politiques"

"C’est un bordel un peu mieux organisé, parce qu’on a compris qu’il y avait des motifs sanitaires mais aussi des motifs politiques, des rivalités corporatistes" (Michel-Edouard Leclerc)

Gilles Le Gendre : “Il y a une grande ambiguïté dans ce mouvement depuis le début : il y a des gens qui expriment une colère sincère, et ceux qui l’instrumentalisent à des fins politiques, et une troisième partie, ceux qui font de la violence.”

François-Xavier Bellamy, le FBI et les Chinois - Le Billet de Charline dans le 7/10

Zaho de Sagazan : "La sensibilité peut faire des merveilles, comme des catastrophes"

L'histoire de l'Ascension - Le billet de Daniel Morin

Le thème officiel des Jeux olympiques, composé par Victor Le Masne, dévoilé en avant première sur France Inter

Pierre Rosanvallon dénonce "la persistance d'un antisémitisme latent dans la société française"

USE 2023 - Discussion avec Rosanvallon

Olivier Véran répond à Pierre Rosanvallon sur la « crise démocratique »

Le pouvoir face à la rue : le grand face-à-face avec Pierre Rosanvallon

Pierre Rosanvallon : "L'élection présidentielle va se jouer sur le sentiment de proximité"

Pierre Rosanvallon : « La sensibilité aux épreuves a changé »

Pour ou contre le maintien de la polarisation dans les débats ? La Convention citoyenne

Les jeunes et les élections : 32% d'entre-eux n'iront peut-être pas voter aux européennes

Super Mario Galaxy 2 est-il hanté ?

Julia Cagé X Jean-Yves Dormagen : L’écologie à l’épreuve des européennes

Commission d’enquête sur la TNT : fumeuse jusqu’au bout - L'édito médias

Daniel Morin est ému

Cette année-là - 36 nuances de populisme : quel populiste êtes-vous ?

Comment les populistes ont pris le pouvoir en Suède

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Zoom - Yannick Mireur : Peut-on concilier populisme et mondialisation ?

Cette année-là : Le populisme a-t-il ringardisé le clivage droite-gauche ?

Kevin Bossuet : «C’est un coup de com’, on sombre ici dans le populisme et la démagogie, écouter le terrain ce n’est pas organiser ce genre de réunions, on attend autre chose d’un chef de l’Etat»