LA LEÇON DU BOUDDHA

  • il y a 6 ans
BastaSongs n° 7

LA LEÇON DU BOUDDHA

Vous avez rien compris, d’la leçon du bouddha
Quand il vous a transmis, que l’bonheur c’est ici bas
Une manière de vous montrer, comment tout partager
Sans toujours valider, l’immense cupidité.
Vous avez rien compris, parce qu’au nom de l’argent
Vous vous êtes soumis, au fantôme d’un géant
Une chimère éternelle, qui vampérise la Vie
Qui génère des désirs, au fil de vos ennuis.
Vous vous êtes refusé, la lumière d’la Conscience
En vous fermant les yeux, sur votre intelligence
Vous êtes dev’nus des copies, de tous vos prédateurs
Perpétuant ainsi, le cirque des horreurs.

Refrain

Talala dadadam, talala dadadam
Talala dadadam, talala dadadam
Talala dadadam, talala dadadam
C’est ainsi qu’on construit, le plus violent des drames
Talala dadadam, talala dadadam
C’est ainsi qu’on r’produit, le pire de tous les drames
En voulant ignorer, la beauté d’la Lumière
En tuant l’Humanité, au cœur de la matière.
Talala dadadam

Lucifer mon enfant, porteur d’l’éternité
Gardien de la porte, totale intégrité
Ton heure est revenue, pour dénouer le destin
Fracasser les icônes, qui bloquent le chemin.
Tsunami d’énergie, pour balayer les ordures
Fini la compassion, qu’ils s’écrasent dans le mur.
Sans ÊTRES responsables, c’est Sodome et Gomar
Par delà l’espace/temps, pour combler le retard
Y’a plus rien à compter, vous n’avez plus de crédits
Vous en avez terminé, d’illuminer vos nuits
Des provoquer des rêves, dans la tête des endormis
Bang bang bang bang bang bang, bang la fête est finie.
Pour les hommes de paix, la plus grande des peurs
C’est d’froisser le voisin, et déclencher des horreurs
Avec des phrases creuses, ils cherchent le compromis
Ils naviguent au forfait, entre les ennemis.
Fermez vos gueules, le caviar va déborder
Sur les Vies que l’on viole, au nom de votre lâcheté.
Enfermez rapido, ces baiseurs de l’intention
Œil pour œil dent pour dent, restaurez le Talion.
BASTA de tout ce cirque, tabloïds médiatiques
L’encre des banquiers, c’est le sang nostalgique
Des esclaves importés, au nom d’la Liberté
Pour le plaisir des assassins, qui tuent l’Humanité.

Ce temps est révolu, y plus de compromis
Je cautionne vos guerres, au nom de l’ennemi
Chacun a ses raisons, d’étouffer son voisin
Et reproduire sa vie, dans un jour sans fin.
M’aimer (mémé) dans les orties, au cimetière de la haine
La violence quotidienne, banalise toutes les scènes.
J’ouvre grandes les vannes, pour libérer la Conscience
Fini d’vous tolérer, totale indifférence.
Le cul de sac est fermé, bienvenue la Méfiance
Au cœur du dépotoir, y plus de différence….
Vous avez rien compris, d’la leçon du bouddha
Quand il vous a transmis, que l’bonheur c’est ici bas.


MIRAM Godfather d’une Humanité en sursis

Ordre du Miram BASTA International Ordre des Samouraïs Kantik

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