Les métiers qui disparaissent: le téléphone public du Burundi

  • il y a 6 ans

Avant le 1er mai, l'AFPTV s'est entretenue avec des hommes et des femmes du monde entier dont les emplois se font de plus en plus rares, en particulier à mesure que la technologie transforme les sociétés. Pendant plus de dix ans, le téléphone blanc trônant sur le comptoir du kiosque El-Shadaï, à Bujumbura, a fait la fierté d'Ernest Nshimirimana, 38 ans et propriétaire des lieux. Aujourd'hui, c'est avec nostalgie qu'il pense à l'époque où la possession d'une ligne fixe au Burundi était réservée aux plus riches.

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