Une centaine d’étudiants a entamé un blocage reconductible de Sciences Po à Paris, mardi 17 avril, dans le cadre du mouvement de protestation contre la réforme de l’accès à l’université. À Rennes, des étudiants ont également passé la nuit dans un amphithéâtre de l’Institut d’études politiques, qu’ils occupent toujours ce mercredi 18 avril.
Depuis mardi soir, « le bâtiment principal de l’école de Sciences Po Paris est occupé pacifiquement et de manière reconductible, une décision prise à l’issue d’une Assemblée Générale des étudiants mobilisés », annonce un communiqué transmis dans la nuit de mardi à mercredi par l'AG. Une action qui s’inscrit dans le mouvement national de contestation étudiante contre la réforme de l’accès à l’université. « Occuper Sciences Po est fortement symbolique : en tant que fac où a étudié Emmanuel Macron et de nombreux membres de sa majorité parlementaire », souligne le communiqué.
Selon un journaliste présent sur place, environ une centaine d’étudiants étaient mobilisés cette nuit, dans « la Péniche », le hall principal de l'école.
Depuis mardi soir, « le bâtiment principal de l’école de Sciences Po Paris est occupé pacifiquement et de manière reconductible, une décision prise à l’issue d’une Assemblée Générale des étudiants mobilisés », annonce un communiqué transmis dans la nuit de mardi à mercredi par l'AG. Une action qui s’inscrit dans le mouvement national de contestation étudiante contre la réforme de l’accès à l’université. « Occuper Sciences Po est fortement symbolique : en tant que fac où a étudié Emmanuel Macron et de nombreux membres de sa majorité parlementaire », souligne le communiqué.
Selon un journaliste présent sur place, environ une centaine d’étudiants étaient mobilisés cette nuit, dans « la Péniche », le hall principal de l'école.
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