Retour vers l’égalité (Lycée agricole Meynes-Gard)
- il y a 6 ans
Le dur voyage dans le temps du sexisme: un détour par l'inégalité?
L’histoire commence dans les années 60, une période difficile pour les droits des femmes qui peinent à se faire entendre. Elles sont écrasées par l’autorité d’un mari égoïste qui les considère comme des servantes. Elles n’existent qu’à travers leurs maris et leurs enfants « épouse de… », « maman de… ». D’ailleurs dès le début de la vidéo, le mari rentre à la maison sans saluer sa femme et ses enfants (il n’avait même pas repéré leur présence pourtant bien bruyante !). Il se comporte en véritable maître (journal, wisky et pieds sous la table). Le ton qu’il emploi est autoritaire, sa femme dépend financièrement de lui (c’est lui qui donne l’argent).
Alors que quelques avancées sont réalisées dans l’histoire (droit de vote, accès aux moyens de contraception, légalisation de l’avortement…), quelque part en France en 2018, une jeune fille doit faire preuve de courage pour annoncer son désir de faire des études dans la mécanique, formation considérée comme masculine par beaucoup de personnes à commencer par sa meilleure amie puis par son père. C’est un véritable bond en arrière ! Alors qu’en 1924 les programmes scolaires sont identiques pour les filles et les garçons, en 2018 une fille est disputée pour son choix de formation « trop masculin » ! Malgré les obstacles elle saute le pas jusqu’à reculer à la rentrée des classes en septembre. Ses camarades masculins la décrédibilisent et elle jette l’éponge. Ce n’est qu’à la fin de l’année en visionnant un film contre le sexisme que les élèves se rendent compte de leur comportement sexiste et choisissent d’agir.
Le message du film : C’est ensemble (garçons et filles) que nous réussirons à lutter contre le sexisme qui s’est semble-t-il rallumé…
L’histoire commence dans les années 60, une période difficile pour les droits des femmes qui peinent à se faire entendre. Elles sont écrasées par l’autorité d’un mari égoïste qui les considère comme des servantes. Elles n’existent qu’à travers leurs maris et leurs enfants « épouse de… », « maman de… ». D’ailleurs dès le début de la vidéo, le mari rentre à la maison sans saluer sa femme et ses enfants (il n’avait même pas repéré leur présence pourtant bien bruyante !). Il se comporte en véritable maître (journal, wisky et pieds sous la table). Le ton qu’il emploi est autoritaire, sa femme dépend financièrement de lui (c’est lui qui donne l’argent).
Alors que quelques avancées sont réalisées dans l’histoire (droit de vote, accès aux moyens de contraception, légalisation de l’avortement…), quelque part en France en 2018, une jeune fille doit faire preuve de courage pour annoncer son désir de faire des études dans la mécanique, formation considérée comme masculine par beaucoup de personnes à commencer par sa meilleure amie puis par son père. C’est un véritable bond en arrière ! Alors qu’en 1924 les programmes scolaires sont identiques pour les filles et les garçons, en 2018 une fille est disputée pour son choix de formation « trop masculin » ! Malgré les obstacles elle saute le pas jusqu’à reculer à la rentrée des classes en septembre. Ses camarades masculins la décrédibilisent et elle jette l’éponge. Ce n’est qu’à la fin de l’année en visionnant un film contre le sexisme que les élèves se rendent compte de leur comportement sexiste et choisissent d’agir.
Le message du film : C’est ensemble (garçons et filles) que nous réussirons à lutter contre le sexisme qui s’est semble-t-il rallumé…