Cette fois, ce n'est pas Benyamin Netanyahou qui est au coeur du scandale de l'affaire 4000, mais la juge Ronit Poznansky-Katz et l'avocat, Eran Shahm Shavit. Ils sont soupçonnés de collusion, et ont été exclus du dossier. Ce qui remet sérieusement en question la neutralité de la justice dans cette affaire. Le milieu politique est divisé sur l'affaire, notamment sur la réaction du Premier ministre israélien, qui se réjouit de la situation. Par contre, à droite comme à gauche, ils soutiennent tous l'état de droit et la justice. Plus de détails avec Maurice Ifergan,avec rédacteur en chef i24NEWS.