Sisiku Julius Ayuk Tabe, le "président" du mouvement séparatiste anglophone et 46 de ses partisans ont été arrêtés et extradés du Nigeria vers le Cameroun.
Que risquent concrètement les séparatistes ? Quel impact ces arrestations pourraient avoir sur le mouvement lui-même ?
2018 étant une année électorale au Cameroun, quelles conséquences ces arrestations pourraient avoir sur les élections présidentielles ?
Anne Cantener, journaliste au service Afrique de RFI répond aux questions des auditeurs d'Appels sur l'actualité.