La famille royale est décidément au cœur des Paradise Papers. C’est au tour du prince Charles de se retrouver épinglé par cette enquête sur l’optimisation fiscale. L’héritier du trône britannique aurait via un de ses fonds d’investissement pris des parts dans une société offshore spécialisée dans la vente de crédits carbone. Problème, l’entreprise souhaitait un changement de politique en incluant les forêts vierges dans le calcul de ces crédits. Une position qu’a défendue publiquement le prince Charles au cour de nombreuses interventions. Dans un communiqué, les représentants du prince on fait valoir que selon eux il n’y a pas de conflit d’intérêt, puisque sa position sur le climat n’a pas changé au fil des années.
Reste que les révélations des Paradise Papers sur les circuits financiers empruntés par la famille royale font désordre alors que la reine mère aurait elle aussi, via une société, investi de l’argent dans des paradis fiscaux.
L’enquête menée par 96 médias dans 67 pays montre l’ampleur du système d’optimisation fiscale à travers le monde. Une pratique légale mais qui d’après les estimations pourrait coûter aux états de la planète 350 milliards d’euros chaque année, 20 milliards juste en France.
Plus d’infos sur le site du Guardian et de la BBC
Reste que les révélations des Paradise Papers sur les circuits financiers empruntés par la famille royale font désordre alors que la reine mère aurait elle aussi, via une société, investi de l’argent dans des paradis fiscaux.
L’enquête menée par 96 médias dans 67 pays montre l’ampleur du système d’optimisation fiscale à travers le monde. Une pratique légale mais qui d’après les estimations pourrait coûter aux états de la planète 350 milliards d’euros chaque année, 20 milliards juste en France.
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