Bérénice Levet craint un féminisme qui ne vive que "de la criminalisation des hommes "
  • il y a 7 ans
Alors que la libération de la parole des femmes victimes de harcèlement sexuel est plutôt saluée ces derniers temps, la philosophe et essayiste Bérénice Levet craint, elle, qu'une trop grande rupture ne se créée entre les femmes et les hommes. "Je me demande si le féminisme ne vit pas que d’une seule chose désormais, c’est la criminalisation des hommes", s’interroge-t-elle. Cette dernière regrette un "féminisme qui se complaît dans cette posture de victime".
Recommandée