L'Académie des Oscars charge Harvey Weinstein
- il y a 7 ans
L’Académie des Oscars prend à son tour position dans l’affaire Weinstein.
Alors que les langues continuent de se délier, la très célèbre institution du cinéma américain va se réunir samedi pour débattre du cas du producteur.
Harvey Weinstein, est accusé de viol et de harcèlement sexuel envers de jeunes actrices, des mannequins et des employées depuis les années 1990.
Dans un communiqué, “l’institution des oscars juge répugnante, odieuse et contraire aux hautes exigences de l’Académie la conduite décrite dans ces allégations”.
Une vingtaine de femmes accusent désormais le producteur.
Dernière en date, la Française Léa Seydoux, star de “La vie d’Adèle” et du James Bond “007 Spectre. Elle dit avoir dû “se défendre” pour échapper au puissant producteur qui s‘était “jeté sur elle”.
Elle dénonce l’omerta du milieu du cinéma et le traitement misogyne des femmes, l’exigence de perfection physique.
Ces témoignages viennent corroborer ceux recueillis dans le New York Times et le New Yorker depuis la semaine dernière, notamment de Mira Sorvino, Rosana Arquette, Gwyneth Paltrow, Angelina Jolie, Emma de Caunes et Judith Godrèche, qui ont décrit les avances sexuelles insistantes du producteur, souvent dans une chambre d’hôtel et vêtu d’un peignoir, voire nu.
Alors que les langues continuent de se délier, la très célèbre institution du cinéma américain va se réunir samedi pour débattre du cas du producteur.
Harvey Weinstein, est accusé de viol et de harcèlement sexuel envers de jeunes actrices, des mannequins et des employées depuis les années 1990.
Dans un communiqué, “l’institution des oscars juge répugnante, odieuse et contraire aux hautes exigences de l’Académie la conduite décrite dans ces allégations”.
Une vingtaine de femmes accusent désormais le producteur.
Dernière en date, la Française Léa Seydoux, star de “La vie d’Adèle” et du James Bond “007 Spectre. Elle dit avoir dû “se défendre” pour échapper au puissant producteur qui s‘était “jeté sur elle”.
Elle dénonce l’omerta du milieu du cinéma et le traitement misogyne des femmes, l’exigence de perfection physique.
Ces témoignages viennent corroborer ceux recueillis dans le New York Times et le New Yorker depuis la semaine dernière, notamment de Mira Sorvino, Rosana Arquette, Gwyneth Paltrow, Angelina Jolie, Emma de Caunes et Judith Godrèche, qui ont décrit les avances sexuelles insistantes du producteur, souvent dans une chambre d’hôtel et vêtu d’un peignoir, voire nu.