Le journaliste français Loup Bureau, détenu en Turquie, a été libéré
- il y a 7 ans
L’avocat et le comité de soutien du journaliste français Loup Bureau ont annoncé ce vendredi sa libération imminente. Ce Nantais de 27 ans était emprisonné depuis le 26 juillet en Turquie. Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, avait plaidé sa cause jeudi lors d’une visite à Ankara.
Avec Rusen_Aytac, ns avons la satisfaction d’annoncer la libération du journaliste #LoupBureau. Il sera expulsé de Turquie prochainement.— Martin PRADEL (MartinPradel) 15 septembre 2017
RSF, Reporters sans frontières, s’est réjoui de la nouvelle.
Nous sommes très heureux d’annoncer que #LoupBureau va bientôt être libéré après 52 jours enfermé en #Turquie ! pic.twitter.com/AYroTwuh9g— RSF (@RSF_inter) September 15, 2017
Loup Bureau a été interpellé à la frontière entre l’Irak et la Turquie, après que des photos le montrant en compagnie de combattants kurdes syriens des YPG (un mouvement considéré comme une organisation “terroriste” par Ankara) ont été trouvées en sa possession.
Le reporter a été placé en détention provisoire le 1er août dernier pour soupçon d’appartenance à “une organisation terroriste armée”. Fin août, le président français, Emmanuel Macron, avait demandé à son homologue turc sa “libération rapide et son retour en France”.
Avec Rusen_Aytac, ns avons la satisfaction d’annoncer la libération du journaliste #LoupBureau. Il sera expulsé de Turquie prochainement.— Martin PRADEL (MartinPradel) 15 septembre 2017
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Nous sommes très heureux d’annoncer que #LoupBureau va bientôt être libéré après 52 jours enfermé en #Turquie ! pic.twitter.com/AYroTwuh9g— RSF (@RSF_inter) September 15, 2017
Loup Bureau a été interpellé à la frontière entre l’Irak et la Turquie, après que des photos le montrant en compagnie de combattants kurdes syriens des YPG (un mouvement considéré comme une organisation “terroriste” par Ankara) ont été trouvées en sa possession.
Le reporter a été placé en détention provisoire le 1er août dernier pour soupçon d’appartenance à “une organisation terroriste armée”. Fin août, le président français, Emmanuel Macron, avait demandé à son homologue turc sa “libération rapide et son retour en France”.