Jean-Luc Mélenchon a promis mardi de «[px_nbsp:nbsp]faire reculer[px_nbsp:nbsp]» Emmanuel Macron sur sa réforme du droit du travail, au départ de la manifestation de la CGT à Marseille. Mais il en a aussi profité pour régler ses comptes avec le président et les journalistes.

Interrogé pour savoir s’il faisait partie des «[px_nbsp:nbsp]fainéants[px_nbsp:nbsp]», référence au dérapage du chef de l’Etat, le député a répondu : «[px_nbsp:nbsp]Vous savez, ma collection elle est ample. Je suis un abruti d’après un de vos collègues. Pour l’autre je suis un névrosé aux passions tristes. Qu’est-ce qu’on est ? Fainéants, cyniques. On dirait le capitaine Haddock. On s’amuse à faire la liste, ça nous fait rire un peu. Dimanche dernier, j’étais islamo-trotskiste et puis salmigondis[px_nbsp:nbsp]».

Revenant au projet de réforme, Mélenchon a lancé : «[px_nbsp:nbsp]nous ne sommes pas en train de faire des barouds d’honneur mais d’organiser une défense implacable du code du travail[px_nbsp:nbsp]».