Est-ce la mode qui s'inspire de la rue, ou la rue qui s'inspire de la mode ?

Kévin Bossuet : «Ce qui m’a choqué, c’est ce qui se passe sur les réseaux sociaux où vous avez des gens qui instrumentalisent cette affaire»

Arnaud Benedetti : « Ce qui est nouveau c'est l'extrême jeunesse de ceux qui sont l'objet ou les auteurs de ces violences. »

Jean Garrigues : «Ce qui pose question, ce sont les plus de 65 ans ou atteints de comorbidité qui n'ont pas encore été vaccinés»

Matthieu Valet : «Les mouvements sociaux ont changé de physionomie, avant on avait les grands syndicats qui organisaient tout ça, maintenant ce sont les black blocs, les antifas ou ceux qui s’habillent en noir et qui viennent exercer leur violence»

Joseph Thouvenel : «Ce qui est choquant, c’est de voir qu’il n’y a pas de priorité faite pour ceux qui ont une pratique sportive. Il y a de nombreux Français ou étrangers qui font partie de petits clubs»

Fabien Roussel : «Le problème, ce sont ces écoles hors contrat où on ne sait rien de ce qui s'y passe»

Laurent Jacobelli, député RN : «Ce n’est pas la gauche qui est dans la rue, ce sont les Français»

Olivier Mateu : «Je mets au défi qui que ce soit de trouver la moindre expression, qu'elle soit orale ou écrire, de mon organisation ou de moi-même, visant à soutenir Vladimir Poutine», à propos des soupçons sur la CGT 13

Karima Brikh : «On voit aussi depuis quelques années, que ce soit des migrants qui viennent de Tunisie ou d'autres pays, où le pays n'est pas en guerre donc faut faire aussi attention que le droit d'asile ne soit pas dévoyé en immigration économique»

Jean-Sébastien Ferjou : «Les gens qui quittent l’Afrique ou l’Afrique du Nord […] ont les moyens de le faire. Ce sont souvent les plus riches qui partent»

Alexandre Devecchio : «Ce qui me gêne c'est qu'il ne rappelle jamais la responsabilité des états d'où partent ces migrants»

Guillaume Bigot : «C’est cette opération qui va recharger la légitimité de celle ou celui qui va sortir des urnes ce soir»

Raphaël Stainville : «Ce qui me met en colère, ce sont les mensonges ou la manière dont le pouvoir minore, élude la question du terrorisme islamiste»

Nathan Devers : «Si alliance de la gauche il y a, la vraie gauche qui dirigerait cette union ou qui aurait le premier plan ce serait l'extrême gauche»

Jonathan Siksou : «Les personnes qui ont commis cet acte, quel que soit leur couleur de peau ou leur religion, ne sont pas françaises. Elles n’ont pas en elle-même, ce qui a fait depuis tant d’année, le ciment de notre société»

Eric Naulleau : «Que ce soit en Ukraine ou ailleurs, ce sont les Etats-Unis et l’OTAN qui font la loi»

Ce qui est ouvert ou fermé en ce lundi de Pentecôte

«Ce qui énerve énormément ce métier, c’est le millefeuille administratif ou législatif imposé par Bruxelles»

Nathan Devers : «Quand on regarde ce qui a déjà été commis en matière de barbarie par l'Etat islamique du Khorasan, on remarque qu'il s'en prend souvent à des terrains où il y a déjà des tensions qui n'ont rien à voir avec lui»

Caroline Pilastre : «Ces gens peuvent se dire nous vivons des difficultés, nous vivons une injustice, à partir du moment où il y a une population qui a une autre identité [..] qui va arriver dans nos campagnes, pourquoi elle serait privilégiée»

"La matinale" de Romain Desarbres sur CNews du mardi 9 janvier 2024.

La Matinale du 14/02/2023

14/02/2023 - La matinale de France Bleu Roussillon

Eric Marrocq : «Avant, les contrôles étaient systématiques, maintenant ils deviennent aléatoires»

La Matinale du 13/02/2023

13/02/2023 - La matinale de France Bleu Roussillon

Claude Guittard : «Lipp c’est comme un monument historique, avec le même décor depuis 1920»

Pierre-Alexandre Zal : «Si les bourses et les subventions publiques disparaissent, l’avenir financier de Sciences Po est en danger»

La Matinale (Émission du 30/04/2024)

Jean-Claude Dassier : «Cela témoigne d’une politique de l’immigration qui est totalement hors de contrôle et on n’a pas fini de payer la facture»

Pierre-Alexandre Zal : «Sciences Po Paris est dans une situation d’une extraordinaire gravité à cause de cette minorité étudiante qui parle beaucoup»

L'édito de Pascal Praud : «Ne pas mettre d'huile sur le feu, c'est reconnaître qu'il y a le feu, mais qu'il faudrait le taire»