PROCES KEMI SEBA CONTRE LA MAFIA SIONISTE 26OCT2007
- il y a 16 ans
26OCTOBRE2007
Procès de Kemi Seba contre l'U.E.J.F, S.O.S RACISME, le CONSISTOIRE CENTRAL, L'Association J'ACCUSE, et la LICRA à la 17ième Chambre du Tribunal de Grande Instance de Paris. Le procureur Sandrine Halimi Uzan réclame 5 mois de prison ferme, 10 000 euros d'amende et une privation de droit civique pour avoir affirmé sur son ancien site internet que «la plupart des institutions internationales telles que par exemple le FMI, l'OMS (qui sont d'ailleurs aux mains des sionistes) imposent à l'Afrique et sa diaspora des conditions de vie tellement excrémentielles que comparativement à ceci, le camp de concentration d'Auschwitz peut paraître être un paradis sur terre » et sur un tract de mobilisation pour une marche de la dignité « qu’il était temps de cracher à la figure de ce pays esclavagiste, et s’il le faut en tapant du poing».
PS : La journaliste qui interroge le Fara à l’extérieur devant le tribunal déforme l’information, le procureur réclame 5 mois et non 5 ans ! A partir de là, il est légitime de se permettre de douter de la compétence ou de l’intégrité de certains journalistes qui modifient l’information.
Source : www.kamayiti.com
Procès de Kemi Seba contre l'U.E.J.F, S.O.S RACISME, le CONSISTOIRE CENTRAL, L'Association J'ACCUSE, et la LICRA à la 17ième Chambre du Tribunal de Grande Instance de Paris. Le procureur Sandrine Halimi Uzan réclame 5 mois de prison ferme, 10 000 euros d'amende et une privation de droit civique pour avoir affirmé sur son ancien site internet que «la plupart des institutions internationales telles que par exemple le FMI, l'OMS (qui sont d'ailleurs aux mains des sionistes) imposent à l'Afrique et sa diaspora des conditions de vie tellement excrémentielles que comparativement à ceci, le camp de concentration d'Auschwitz peut paraître être un paradis sur terre » et sur un tract de mobilisation pour une marche de la dignité « qu’il était temps de cracher à la figure de ce pays esclavagiste, et s’il le faut en tapant du poing».
PS : La journaliste qui interroge le Fara à l’extérieur devant le tribunal déforme l’information, le procureur réclame 5 mois et non 5 ans ! A partir de là, il est légitime de se permettre de douter de la compétence ou de l’intégrité de certains journalistes qui modifient l’information.
Source : www.kamayiti.com