Un nouvel An perse doux amer pour les exilés de Grande-Synthe

  • il y a 7 ans

Le tambour résonne sur la scène, les hommes dansent en cercle sous le préau, mais le nouvel An perse a un goût doux amer pour les exilés de Grande-Synthe (Nord), qui rêvent toujours de Grande-Bretagne dans le camp surpeuplé.

Recommandée