La fin de service du barman Denis Mulot
- il y a 8 ans
Le grand restaurant du Domaine du golf de Roncemay était plein à craquer dimanche après-midi pour le der de la saison.
Le dernier service du barman Denis Mulot, en poste depuis 10 ans. Un personnage attachant, pas facile, égal à lui-même, sans illusion, doté d'un humour décapant et d'un sens aïgu de l'amitié.
Toutes et tous lui ont rendu hommage dans son style, la dérision et l'humour, à commencer par Joël Laporte qui au nom de tous, lui parla face-à-face, le bras enserrant son l'épaule, pour mieux se payer sa tête trahissant une réelle affection pour le bonhomme.
La directrice et sa complice contrariante Françoise Couilloux ne fut pas en reste et eut des mots tendres, pour une fois dira Denis, à son endroit, avec une voix où sourdait un léger trémolo.
Denis Mulot qui n'aime pas le golf lui préférant la nature, les oiseaux et les poissons, n'a mot dit devant tout ce tralala qu'il devait juger excessif. Mais il n'en pensait pas moins. Et sous son silence, certains ont perçu du brillant dans ses yeux comme des larmes rentrées.
Il reçut un siège panier à pêche garni à l'intérieur d'un caoutchouc suspect ainsi qu'un vélo électrique et une pièce montée, un gâteau fusée préparé par Pascal et ses acolytes avec fraternité.
Une tranche de vie. Un bon moment. Un vrai moment qui montrer que tout un chacun a sa place et prend parfois beaucoup plus de place qu'on ne l'imagine
Le dernier service du barman Denis Mulot, en poste depuis 10 ans. Un personnage attachant, pas facile, égal à lui-même, sans illusion, doté d'un humour décapant et d'un sens aïgu de l'amitié.
Toutes et tous lui ont rendu hommage dans son style, la dérision et l'humour, à commencer par Joël Laporte qui au nom de tous, lui parla face-à-face, le bras enserrant son l'épaule, pour mieux se payer sa tête trahissant une réelle affection pour le bonhomme.
La directrice et sa complice contrariante Françoise Couilloux ne fut pas en reste et eut des mots tendres, pour une fois dira Denis, à son endroit, avec une voix où sourdait un léger trémolo.
Denis Mulot qui n'aime pas le golf lui préférant la nature, les oiseaux et les poissons, n'a mot dit devant tout ce tralala qu'il devait juger excessif. Mais il n'en pensait pas moins. Et sous son silence, certains ont perçu du brillant dans ses yeux comme des larmes rentrées.
Il reçut un siège panier à pêche garni à l'intérieur d'un caoutchouc suspect ainsi qu'un vélo électrique et une pièce montée, un gâteau fusée préparé par Pascal et ses acolytes avec fraternité.
Une tranche de vie. Un bon moment. Un vrai moment qui montrer que tout un chacun a sa place et prend parfois beaucoup plus de place qu'on ne l'imagine