Frédéric Paul, conservateur, commissaire de l'exposition : « Nous avons voulu replacer l’Arte Povera dans une perspective plus large. Si nous avons choisi de nous limiter, à quelques exceptions près, à une décennie comprise entre 1964 et 1974, ce n’est pas pour saluer le début ou la fin d’une histoire (..) mais parce qu’en resserrant la période considérée, il s’en dégage encore plus d’intensité. »
Attentifs aux traces, aux reliefs, aux plus élémentaires manifestations de la vie, les artistes de l' Arte Povera et plus largement de « l’art pauvre » revendiquent des gestes archaïques. Les matériaux qu’ils utilisent sont souvent naturels et de récupération. La volonté de ces artistes n’est pas de faire de l’or avec de la paille ou des chiffons, mais d’activer un nouveau pouvoir symbolique des matériaux.
Cliquez ici pour retrouver l’événement :
https://www.centrepompidou.fr/id/coKXgMR/rg5zdjz/fr
Attentifs aux traces, aux reliefs, aux plus élémentaires manifestations de la vie, les artistes de l' Arte Povera et plus largement de « l’art pauvre » revendiquent des gestes archaïques. Les matériaux qu’ils utilisent sont souvent naturels et de récupération. La volonté de ces artistes n’est pas de faire de l’or avec de la paille ou des chiffons, mais d’activer un nouveau pouvoir symbolique des matériaux.
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Art et design