Voyage surréaliste au Pays des Guilidoux
- il y a 8 ans
Nous sommes partis à la rencontre des Guilidoux, faiseurs de rêves et surtout conteurs de fables : le spectacle pour enfants, qui a duré une petite heure, s'est déroulé sous le regard attentif de l'assemblée…
Du haut du balcon, on aperçoit les tous petits entrer un à un, classe par classe dans la salle. Que de brouhaha ! Les maîtresses et les maîtres s'évertuent à les faire tenir en place, mais ça bouge, ça s'agite.
Puis c'est le noir qui descend doucement sur la scène et dans la salle. Le silence se fait… presque. Les yeux sont écarquillés pour voir apparaître deux personnages étranges et magiques : c'est Coccibelle et Ramdam.
Les enfants et les plus grands sont aspirés dans l'univers des Guilidoux, impossible d'en sortir ! Les chansons s'enchainent, ils virevoltent sur scène et on les voit à peine échanger leurs instruments. Les musiques entraînantes suscitent un vif intérêt : tout le monde frappe des mains, même si ce n'est pas toujours en rythme…
Lorsque les Guilidoux sont sur scène, plus rien n'existe. Et c'est pour cela que le public est présent à chaque fois. Les salles sont combles et les spectateurs fidèles pour ces nancéiens pur souche qui n'ont pas encore toute la reconnaissance qu'ils méritent vers chez nous.
Quand on leur demande le nombre d'albums à leur actif, ils ne savent plus, se regardent et comptent cinq, peut-être six. Point de vision commerciale cela va sans dire, mais un métier gravé dans leurs cœurs pour ces artistes aux multiples talents (observez bien le nombre d'instruments sur scène !). Ils donnent et redonnent de leur personne sans attendre de retour. Et pourtant ils en ont. Les enfants viennent se serrer contre eux et remercient les deux personnages pour leur spectacle.
Les spectacles des Guilidoux pourraient être tout droit sortis de l'imagination fertile de l'enfance : on retrouve l'univers féerique et « sans queue ni tête » de nos petites têtes blondes. Pourtant, les textes nous mettent la puce à l'oreille : c'est au moins un grand enfant qui en est à l'origine. Puisque, subtilement, on nous apprend les couleurs, les lettres, les nombres ! Les enfants crient en cœur « Y » et s'esclaffent lorsque celui-ci a le hoquet. Sans être interactif, ce spectacle pour enfant entièrement musical arrive à capter les attentions et les neurones de l'assemblée. Chapeau bas aux artistes Corinne Aka Koffi et James Haouzi qui nous offrent ses contes en musique.
Du haut du balcon, on aperçoit les tous petits entrer un à un, classe par classe dans la salle. Que de brouhaha ! Les maîtresses et les maîtres s'évertuent à les faire tenir en place, mais ça bouge, ça s'agite.
Puis c'est le noir qui descend doucement sur la scène et dans la salle. Le silence se fait… presque. Les yeux sont écarquillés pour voir apparaître deux personnages étranges et magiques : c'est Coccibelle et Ramdam.
Les enfants et les plus grands sont aspirés dans l'univers des Guilidoux, impossible d'en sortir ! Les chansons s'enchainent, ils virevoltent sur scène et on les voit à peine échanger leurs instruments. Les musiques entraînantes suscitent un vif intérêt : tout le monde frappe des mains, même si ce n'est pas toujours en rythme…
Lorsque les Guilidoux sont sur scène, plus rien n'existe. Et c'est pour cela que le public est présent à chaque fois. Les salles sont combles et les spectateurs fidèles pour ces nancéiens pur souche qui n'ont pas encore toute la reconnaissance qu'ils méritent vers chez nous.
Quand on leur demande le nombre d'albums à leur actif, ils ne savent plus, se regardent et comptent cinq, peut-être six. Point de vision commerciale cela va sans dire, mais un métier gravé dans leurs cœurs pour ces artistes aux multiples talents (observez bien le nombre d'instruments sur scène !). Ils donnent et redonnent de leur personne sans attendre de retour. Et pourtant ils en ont. Les enfants viennent se serrer contre eux et remercient les deux personnages pour leur spectacle.
Les spectacles des Guilidoux pourraient être tout droit sortis de l'imagination fertile de l'enfance : on retrouve l'univers féerique et « sans queue ni tête » de nos petites têtes blondes. Pourtant, les textes nous mettent la puce à l'oreille : c'est au moins un grand enfant qui en est à l'origine. Puisque, subtilement, on nous apprend les couleurs, les lettres, les nombres ! Les enfants crient en cœur « Y » et s'esclaffent lorsque celui-ci a le hoquet. Sans être interactif, ce spectacle pour enfant entièrement musical arrive à capter les attentions et les neurones de l'assemblée. Chapeau bas aux artistes Corinne Aka Koffi et James Haouzi qui nous offrent ses contes en musique.