Ayant découvert "Magia" bien avant l'opening de Puella Magi Madoka Magica , j'ai d'abord eu du mal à apprécier ce dernier qui était nettement plus conventionnel et très gentillet. Et ces fichus plans "culotte" et autres "à poil !" Mais le temps passant, je l'ai trouvé néanmoins sympathique et énergique. Et puis, en cherchant, on voit un peu de "pas si drôle et enjoué que ça" vu qu'on a Madoka qui pleure au début.
Là aussi, je me suis basé sur la traduction française a priori officielle. D'ailleurs, c'est en me penchant de plus près sur les paroles que je me suis rendu compte que contrairement à ce qu'on pourrait croire, elles ne s'associent pas à Madoka mais à... ha aaaaaah !
L'adaptation me faisait un peu peur... La mélodie est assez fractionnée sur le refrain et je me demandais si j'allais avoir le courage de trouver des rimes pour chaque "fragment" ou si j'allais considérer que c'était l'ensemble de la phrase musicale qui comptait (genre, les 4 premiers fragments = phrase 1, les 2 suivants = phrase 2, les 2 suivants = phrase 3, les 2 derniers = phrase 4). Finalement, j'ai réussi à mettre des rimes à chaque fragment !
Voici donc les paroles de "Connecter" :
Même les yeux fermés, je saurai honorer notre promesse et jamais je ne l'oublierai Le cœur en liesse, j'avancerai dans le noir pour te voir, mon espoir
J'espère tant qu'un jour je parviendrai à retrouver ce futur qui n'a de cesse de tenter de s'évaporer Déchirant la désolation et sa suite d'ombres, je continuerai de marcher dans ce monde parfois sombre
La somme des temps que j'ai traversé est la pierre angulaire du commencement Tous mes sentiments conjugués sont la clef qui pourra ouvrir cette porte verrouillée
La course de mon cœur éveillé va créer un futur des plus sûrs pour notre bonheur
Sur le chemin il y a plein de contraintes et de feintes C'est sans fin
Le ciel bleu d'azur me rassure Ma hardiesse reste pure, sans rature et jamais elle ne me laisse