Henri Leclerc, avocat : "Il y a quelque chose de nouveau aujourd'hui : la faiblesse des corps intermédiaires. Les réseaux sociaux font une espèce de contact direct, il y a quelque chose de spontané dans l'indignation politique."

Michel Hazanavicius : "Le film parle de ce moment où votre enfant sort de l'enfance. Ca arrive à tous les parents, mais (...) j'ai voulu raconter comme quelque chose d'épique quelque chose de simple"

Melody Gardot : "Même partager un sourire est difficile en ce moment (...), c'est quelque chose qui nous manque, ce partage, même avec un étranger dans la rue. La tactilité est quelque chose de très importante"

Maxime Le Forestier : "Brassens ne réagissait jamais à quelque chose de précis, ses chansons visaient plutôt des institutions, des situations... je ne le vois pas écrire quelque chose sur le pass sanitaire !"

Laure Adler : "Il n'y a rien à comprendre dans les œuvres de Boltanski. Il y a à ressentir, à se laisser porter (...). Il se passe quelque chose entre l'oeuvre qui est regardée et son regardeur, quelque chose de magique."

Camille Emmanuelle : "Quand Luz m'a envoyé un message en me disant "il y a un carnage", je suis sortie en mettant du rouge à lèvres. J'imaginais pas que ce soit possible. C'est quelque chose de prosaïque qui se mélange avec quelque chose de tragique."

Inna Shevchenko, activiste féministe : "#MeToo n'est pas le début de quelque chose de nouveau, mais la continuité de quelque chose de plus long"

Arnaud Desplechin : "Je crois qu’il y a quelque chose de canaille dans le cinéma. C’est un art populaire, un art pour les enfants, un art forain. Il y a quelque chose qui ne s'apprend pas dans les écoles"

Ghada Hatem-Gantzer et Anne-Cécile Mailfert : "Le genre c'est quelque chose qu'on analyse sur des masses. Il y a des hommes qui vivent des choses plus terribles que certaines femmes. Mais il y a des choses sur lesquelles on peut agir de manière sociétale"

Jonathan Franzen, écrivain : "Aux États-Unis, les choses deviennent beaucoup plus sombres. C'est le prélude à quelque chose d'encore plus obscur. Dans cette semi-lumière, nous voyons les choses beaucoup plus clairement."

Laurent Berger : Être déçu, "c'est quelque chose qu'il faut avoir en tête lorsqu'on est syndicaliste, depuis quelque temps"

François Bayrou : Je ne suis pas un courtisan, je n'ai jamais été prisonnier de cette vision des choses. J'ai une relation de confiance avec Emmanuel Macron, mais je ne suis pas à essayer de susciter quelque chose de sa part."

Éric Piolle : "La notoriété c'est quelque chose qui s'acquiert, en l'espace de quelques semaines. Ce qui est important c'est l'expérience, et la façon dont on porte un message pour la France."

Britt Bennett, romancière américaine : "C'est quelque chose de malmener quelqu'un sur Twitter, c'est autre chose que de se voir empêché de publier. Le jour où on va en arriver là, là, je m’inquiéterai."

"Il ya clairement quelque chose qui se joue et qui est idéologique, et cela doit être explicité parce que trop de choses avancent masquées et peuvent être graves pour notre avenir. La pensée des Lumières est un bien précieux" (Jean-Michel Blanquer)

Omar Sy : "Il n'y a qu'une seule chose qui m'importe, c'est la justice. Si la peine de mort est encore en France, qu'on me le dise. Pour moi, un policier mort, Adama Traoré mort, il y a quelque chose qui me dérange, de la même façon."

Michel Hazanavicius : "Le témoignage d'Adèle [Haenel] a changé des choses, pas seulement dans le cinéma. D'un seul coup, les victimes prennent la parole, on les écoute coûte que coûte, et ça, c'est quelque chose de formidable."

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