Le gone du Chaâba
- il y a 8 ans
Archiciné : Le gone du Chaâba (04/11/2015)
Personnalité invitée : Azouz Begag, économiste spécialisé dans les transports urbains, ancien ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances, romancier, auteur de nombreux ouvrages pour enfants (Quand on est mort c’est pour toute la vie, Gallimard, 1995, Le Théorème de Mamadou, Seuil, 2002) et pour les grands (Le Passeport, Seuil 2000, Dites bien bonjour, Fayard, 2009, Salam Ouessan, Albin Michel, 2012)
Adaptation du roman autobiographique d’Azouz Begag, qui décrit la vie de villageois algériens venus s’installer dans un bidonville (Chaâba) de la région lyonnaise. L’adaptation à la vie citadine s’effectue tant bien que mal dans une ambiance encore rurale dans le cadre précaire du bidonville. Elle est relatée par un enfant (gone en parler local) qui découvre, à la fois, la petite société des migrants et celle de la France, en allant à l’école. En sixième, un enseignant (interprété par François Morel) va aider le petit Azouz à prendre de l’assurance…
Ce film obtient le Grand prix de festival de cannes junior en 1997.
T.Paquot « À - côté de l’Algérie natale, à côté de Lyon, à - côté des habitants ‘’légaux’’, à - côté des bons élèves, à - côté des filles, Azouz, sous l’autorité
du père, grandit et ce faisant prend possession de ce qu’il devient par le jeu
contrasté de ses ‘’à-côtés’’. »
Personnalité invitée : Azouz Begag, économiste spécialisé dans les transports urbains, ancien ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances, romancier, auteur de nombreux ouvrages pour enfants (Quand on est mort c’est pour toute la vie, Gallimard, 1995, Le Théorème de Mamadou, Seuil, 2002) et pour les grands (Le Passeport, Seuil 2000, Dites bien bonjour, Fayard, 2009, Salam Ouessan, Albin Michel, 2012)
Adaptation du roman autobiographique d’Azouz Begag, qui décrit la vie de villageois algériens venus s’installer dans un bidonville (Chaâba) de la région lyonnaise. L’adaptation à la vie citadine s’effectue tant bien que mal dans une ambiance encore rurale dans le cadre précaire du bidonville. Elle est relatée par un enfant (gone en parler local) qui découvre, à la fois, la petite société des migrants et celle de la France, en allant à l’école. En sixième, un enseignant (interprété par François Morel) va aider le petit Azouz à prendre de l’assurance…
Ce film obtient le Grand prix de festival de cannes junior en 1997.
T.Paquot « À - côté de l’Algérie natale, à côté de Lyon, à - côté des habitants ‘’légaux’’, à - côté des bons élèves, à - côté des filles, Azouz, sous l’autorité
du père, grandit et ce faisant prend possession de ce qu’il devient par le jeu
contrasté de ses ‘’à-côtés’’. »