Si quatre jours après l'attaque la plus violente jamais connue par la Turquie, le gouvernement appelle officiellement au calme, les attaques du président islamo-conservateur Erdogan contre l'opposition se multiplient. Activistes, militants, mais également journalistes. Le président turc n'a pas hésité à empêcher la diffusion de 6 chaînes de télévision critiques à son égard. Une répression de plus en plus forte à l'approche des élections législatives.