2 sektion - Jonathan Franzen

Jonathan Franzen On Privacy

Jonathan Franzen on China's Growth

Jonathan Franzen: What accounts for China's disregard of nature?

Jonathan Franzen on Midwestern Values

Addio al Premio Nobel Alice Munro: «La più grande scrittrice del Nord America», secondo Jonathan Franzen

Jonathan Franzen, écrivain : "Au lieu de me sentir frustré par l'inaction, je me sens frustré par la nature du débat. Il est temps d'accepter la réalité et de développer la résilience."

Jonathan Franzen, écrivain : "Aux États-Unis, les choses deviennent beaucoup plus sombres. C'est le prélude à quelque chose d'encore plus obscur. Dans cette semi-lumière, nous voyons les choses beaucoup plus clairement."

Jonathan Franzen, écrivain : "J'ai vécu à New York quand j'écrivais mon deuxième roman : Trump représentait un personnage agressif, idiot, avec un ego démesuré, je me suis dit que c'était le côté sombre de l'Amérique."

Jonathan Franzen en sus palabras

Jonathan Franzen on Memory and Memoir

Jonathan Franzen Reads

Jonathan Franzen on Overrated Books

Jonathan Franzen on Underappreciated Books

Jonathan Franzen: Reflections on Oprah

Jonathan Franzen: Why do you find ignorance interesting?

Jonathan Franzen, écrivain : "Joe Biden n'est vraiment pas le candidat sexy, mais il plait à une petite majorité des Américains parce qu'il offre quelque chose de plus doux, de plus modéré."

Jonathan Franzen, écrivain : "Nous sentons que nous vivons dans une société très divisée. Qui contribue à ce sentiment ? 95% des tweets sont tweetés par 10% de la population. Le discours sur les réseaux sociaux ne représentent pas la majorité des gens."

Jonathan Franzen : "Trump va main dans la main avec un système qui est lui aussi mentalement malade"

Jonathan Franzen, écrivain : "A la racine de tous nos problèmes, il y a ce besoin d'acheter, d'acheter encore. Dans ce système, il n'y a pas de place pour l'amour. L'amour n'a rien à faire avec l'achat, avec les clics."

Jonathan Franzen, écrivain : "Il y a véritablement une possibilité de troubles sociaux, quel que soit le résultat de l'élection (...) Je ne pense pas à une guerre civile, mais des trucs horribles pourraient se produire au cours des deux mois à venir."