L'assassinat de Patrice Lumumba par les Américains, in "CIA, guerres secrètes"

  • il y a 9 ans
Le nommé Frank Carlucci, né en 1930, est l'un des petits pinocchio aux ordres du système judéo-wasp qui tente de réduire les hommes en esclavage. Le "projet" -- bien que ce terme ne soit pas approprié (1), nous l'utilisons ici pour simplifier -- le projet de ce groupe socio-culcul est d'un simplisme désespérant, et d'autant plus délétère que, totalement irréalisable, il conduit progressivement ce troupeau de débiles profonds aux pires fuites en avant.
Revenons à Carlucci après l'avoir ainsi approximativement situé dans le concert des manifestations contemporaines de la sottise universelle.
Fils d'immigré italien, il a adopté dès sa "tendre" enfance les règles de la jungle qui structurent actuellement -- en fait depuis toujours -- la classe des nantis nord-américaine.
L'une des caractéristiques principales de pareils mercenaires professionnels est, avec l'arrogance obligatoire (il ne faut laisser aucune possibilité à un échange, toujours susceptible de déboucher sur un discours critique), de bicher comme un pou en jouant la malice contre l'intelligence (2).
Carlucci a senti très tôt que sa "réussite" (à l'américaine, bien évidemment) dépendrait de ses capacités à servir le système de la manière la plus reptilienne possible. Sophomore, ça va un moment, s'est-il dit très tôt -- bien avant Princeton.
(...)
Nous le vérifions dans cet extrait du montage "CIA, guerres secrètes" (3) -- dans lequel il faut bien entendu peser pour ce qu'elles peuvent valoir (malgré leur apparente sincérité) les "confessions" des ex-dirigeants (ex, mon c...) de ce club de stipendiés pitres et assassins. C'est évidemment non seulement sans la moindre vergogne, mais avec en prime un bien infect sourire de satisfaction matoise, que nous voyons ce roquet de Carlucci faire mine de nier l'accusation d'assassinat de Patrice Lumumba: "Moi? Oh, mais vous n'y pensez pas! Ce n'était pas un pauvre petit employé d'ambassade qui aurait pu... etc." Que ce vieux nabot lifté comme une tarlouze se régale d'afficher ainsi son ordure en public permet toutefois de savoir quel sort l'attend le jour où l'on se saisira de sa vieille viande.
Comme hochets pour ces mérites, le lobby j.u.i.f. amerloque lui a attribué un court temps le ministère US de la guerre (leur "secrétariat à la défense" -- charmant euphémisme), puis son bâton de maréchal: la direction (apparente) du groupe Carlyle (celui-là même où vibrionne actuellement le piti yite, frère du "nôtre", j'ai nommé le dit Oliviééé Sarközy).

Note à benêts: L'expression "les Américains" dans le titre de la vidéo est évidemment une plaisanterie en même temps qu'une méchante chose. Il ne manque pas de citoyens youtre-atlantique pour vomir autant que nous les menées de la clique mortifère qui cultive ses délires à travers une malfaisance de tous les instants.

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