LE FOU DIT CA CHAUFFE DANS LES NEURONES

LE FOU DIT : CA CHAUFFE DANS LES NEURONES

Refrain :
Ça chauffe dans les neurones, ça chauffe dans les neurones
Y tellement de résistances, qu’il faut que ça violone
Ça chauffe dans les neurones, et à force d’inactionne
La mécanique s’enraye, et c’est la dépressionne.

Tout bouge autour de nous, c’est la Vie qui s’réveille
Elle nous donne rendez-vous, dans son monde des merveilles.
Elle ouvre grande les portes, pour montrer sa beauté
Son message est limpide, fini d’l’assassiner.
Elle ne cautionne plus, le déni d’potentiel
Pour cela elle instille, des énergies nouvelles
Pour nous rendre responsable, de son évolution
Donner un autre souffle, sortir de la prostration.

Y’a plus rien de solide, tout est devenu faux
C’est bobards sur bobards, et des promesses de trop.
Une obsession unique, de l’argent de l’argent
Plus d’considération, tout s’achète tout se vend.
Même pas le temps d’apprécier, c’est déjà périmé
Le système tourne à vide, et tout est consommé.
Produire de la misère, pour vendre des histoires
Et s’donner bonne conscience, intentions collusoires.

Il y’a même le cosmos, qui s’est positionné
Emission d’énergie, vibration fréquencé
Habillement ciblé, sur les systèmes nerveux
Pour briser les défenses. Regarde ça saute aux yeux
Des réflexes perturbés, retour du barbarisme
Déviances tolérées, montée de l’archaïsme
Suicides drames familiaux, indifférence chronique
Tout se tire vers le bas, c’est la Vie qui nous nique.

De grandes transformations, commencent à s’opérer
Non sans grincements de dents. Refus de tolérer
Ce non respect des êtres, cette dénaturation
De l’équilibre des forces, cette acculturation
Sans liberté d’penser, parce que trop formaté
Pour devoir satisfaire, un système dépassé.
Même les exosquelettes, n’aident plus pour avancer.
Aucune vieille solution, pourra le libérer.


Les visionnaires reviennent, avec des solutions
Avant d’les appliquer, il faut toucher le fond.
Plus de rafistolage, nous allons reconstruire
Un modèle d’équité. Nous ne pourrons plus fuir
La Vie nous appartient, la planète est à nous
C’est le temps du partage, de valider LE FOU
Réduire le dieu argent, en papier tapisserie
Et ne plus nourrir l’ogre, pour la fin d’la boucherie.

Ça chauffe dans les neurones, et pour cesser d’subir
Tu dois trouver en toi, le courage d’oser dire
J’refuse d’être exploité, je deviens responsable.
C’est devenu grotesque, et plus qu’intolérable.
Voilà tout est en place, pour pouvoir unifier
Les nouveaux artisans, venus pour transformer
Ce bourbier en jardin. La Vie la Terre les Humains
C’t’un capital cosmique, pour un nouveau destin.

MIRAMÕNDE LE FOU