En le jour appauvri sa cruelle louange est sans merci. le vent de novembre détache de l’arbre son vieil habit. Grand digne soleil, peaux sombres et ombrelles sont parties.
Le rire de Lenka n’a pas son pareil il est un soleil éclairé de joie. Le rire de Lenka n’a pas son pareil Il est un royaume que m’offre un roi.
Il vient, il se cambre et n’aime pas jouer Le vent de novembre a chassé l’été Il a tué les fleurs pris tout le blé à Jeté mon cœur, puis l’a piétiné
Petit enfant dort, il rêve peut-être !? le vent du nord souffle à nos fenêtres. Les gens dehors baissent tous la tête ma Lenka sourit elle est à la fête….