Le non et le oui à l'indépendance de l'Ecosse au coude-à-coude
- il y a 10 ans
Selon un sondage YouGov publié hier soir pour le Times et le Sun, 52 % des personnes interrogées se prononceront contre l’indépendance la semaine prochaine. La dernière enquête de cet institut publiée au cours du week-end, plaçait le “oui” en tête avec 51 %.
Signe de la tension ambiante, le camp du non mobilise ses têtes d’affiche à l’instar de l‘écossais Gordon Brown, l’ancien Premier ministre britannique.
“Il y a une meilleure, plus sure, plus juste et plus rapide manière de répondre aux aspirations du peuple écossais. Et c’est en adoptant les propositions que nous avons mises en avant pour un parlement écossais fort, au Royaume-Uni”, explique Gordon Brown.
Le camp du oui qui comptait encore 22 points de retard début août se sent pousser des ailes et joue son va-tout comme l’affirme haut et fort, son leader indépendantiste Alex Salmond : “nous allons réussir, pas parce que nous avons des ressources naturelles très riches. Nous réussirons si nous maintenons, si nous bâtissons sur l‘énergie, la participation, l’implication des personnes que nous avons vues au cours de cette campagne”.
Verdict le 18 septembre prochain sur fond de panique au sein de la classe politique et sur les marchés financiers en Grande-Bretagne.
Signe de la tension ambiante, le camp du non mobilise ses têtes d’affiche à l’instar de l‘écossais Gordon Brown, l’ancien Premier ministre britannique.
“Il y a une meilleure, plus sure, plus juste et plus rapide manière de répondre aux aspirations du peuple écossais. Et c’est en adoptant les propositions que nous avons mises en avant pour un parlement écossais fort, au Royaume-Uni”, explique Gordon Brown.
Le camp du oui qui comptait encore 22 points de retard début août se sent pousser des ailes et joue son va-tout comme l’affirme haut et fort, son leader indépendantiste Alex Salmond : “nous allons réussir, pas parce que nous avons des ressources naturelles très riches. Nous réussirons si nous maintenons, si nous bâtissons sur l‘énergie, la participation, l’implication des personnes que nous avons vues au cours de cette campagne”.
Verdict le 18 septembre prochain sur fond de panique au sein de la classe politique et sur les marchés financiers en Grande-Bretagne.