Suite de la 2ème lecture du projet de loi d'avenir pour l'agriculture, l'alimentation et la forêt - En séance
- il y a 10 ans
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Au programme ce matin, l'examen, en seconde lecture, du projet de loi sur l'avenir de l'agriculture, un texte adopté par les députés le 11 juillet. L'objectif de ce projet de loi est de prendre le virage de l'agro-écologie. Concrètement, il s'agit de produire plus avec moins, moins de chimie, moins d'énergie, moins d'eau aussi, cela pour renforcer la compétitivité de l'agriculture. Et pour encourager cette conversion, le texte prévoit notamment la création de GIEE. Ce sont des groupements d'intérêt économique et environnemental, au sein desquels les agriculteurs pourront se regrouper et bénéficier d'aides préférentielles. 10 000 à 12 000 agriculteurs, sur les 490 000 exploitations agricoles devraient être concernés selon le ministre de l'agriculture, Stéphane Le Foll. Parmi les mesures les plus débattues également lors de l'examen du texte à l'assemblée nationale, l'usage des pesticides à proximité des lieux sensibles comme les écoles, les hôpitaux ou les maisons de retraite : désormais, près de ces lieux, il faudra, sous peine de sanctions, prendre des mesures de protection, tels que des haies ou encore des horaires adaptés. Les loups pourront également être abattus dans certaines zones du territoire et à certaines conditions.
Avec : Nadia BELRHOMARI,
Au programme ce matin, l'examen, en seconde lecture, du projet de loi sur l'avenir de l'agriculture, un texte adopté par les députés le 11 juillet. L'objectif de ce projet de loi est de prendre le virage de l'agro-écologie. Concrètement, il s'agit de produire plus avec moins, moins de chimie, moins d'énergie, moins d'eau aussi, cela pour renforcer la compétitivité de l'agriculture. Et pour encourager cette conversion, le texte prévoit notamment la création de GIEE. Ce sont des groupements d'intérêt économique et environnemental, au sein desquels les agriculteurs pourront se regrouper et bénéficier d'aides préférentielles. 10 000 à 12 000 agriculteurs, sur les 490 000 exploitations agricoles devraient être concernés selon le ministre de l'agriculture, Stéphane Le Foll. Parmi les mesures les plus débattues également lors de l'examen du texte à l'assemblée nationale, l'usage des pesticides à proximité des lieux sensibles comme les écoles, les hôpitaux ou les maisons de retraite : désormais, près de ces lieux, il faudra, sous peine de sanctions, prendre des mesures de protection, tels que des haies ou encore des horaires adaptés. Les loups pourront également être abattus dans certaines zones du territoire et à certaines conditions.
Avec : Nadia BELRHOMARI,